Les dés sont jetés ! Par la voix du président de la Haute autorité de Transition de Madagascar, Andry Rajoelina, le pouvoir s'est fendu d'une nouvelle déclaration hier, qui mène tout droit vers les élections. Les avis sont partagés.
Une cérémonie de signature de la feuille de route, voilà ce que propose Andry Rajoelina. Une initiative qui, selon ses propos, conduira aux élections et aboutira par la suite à une issue à une crise qui fait plus que perdurer.
L'homme fort de la Transition en appelle ainsi à tous les groupements politiques de Madagascar, afin qu'ils signent la feuille de route le plus rapidement possible, et que son application soit effective dans les plus brefs délais.
Cette décision intervient après un ultimatum lancé par le pouvoir de Transition à la médiation de la Sadc. Ultimatum auquel la Sadc a répondu par le mutisme pour les uns, par la prudence pour les autres.
Quant à la feuille de route en question, sa signature sera précédée, comme l'a annoncé Andry Rajoelina, par une réunion des groupements politiques « afin de régler les derniers détails ». Mais sur la base de quelle feuille de route cette réunion va-t-elle se faire ?
Selon Fetison Rakoto Andrianirina, initiateur du concept de « La Paix des Braves », si la base des discussions prend comme racine les résolutions de la réunion de Sandton « tous les groupements politiques répondront présents, et les discussions pourront être constructives et aboutiront peut être à un consensus ».
En revanche, continue-t-il : « si on prend comme base la feuille de route amendée proposée par Tomas Salomao, il n'y aura pas implication de l'intégralité des groupements politiques, et les décisions qui en découleront ne pourront être qu'unilatérales ».
« Unilatérale », c'est également l'idée que se fait la mouvance Ravalomanana de la décision de Andry Rajoelina ,par la voix de Mamy Rakotoarivelo.
Intervenu hier sur la chaîne nationale, le ministre de l'Agriculture de la Transition, Vyvato Rakotovao, s'est fait le porte parole du parti TIM et déclare emboiter le pas du président de la Transition : « nous ne pouvons plus attendre, nous devons aller au plus vite aux élections pour mettre un terme à cette crise ».
La date de la réunion des groupements politiques, préalable à la cérémonie de signature de la feuille de route n'est pas encore connue. Encore moins la date des élections, ni leur nature, sachant que si l'on se base sur la feuille de route amendée de Tomaz Salomao, il n'appartiendra nullement au gouvernement ni à la Présidence de trancher sur la dates de ces élections, mais aux groupements politiques ainsi qu'à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
L'homme fort de la Transition en appelle ainsi à tous les groupements politiques de Madagascar, afin qu'ils signent la feuille de route le plus rapidement possible, et que son application soit effective dans les plus brefs délais.
Cette décision intervient après un ultimatum lancé par le pouvoir de Transition à la médiation de la Sadc. Ultimatum auquel la Sadc a répondu par le mutisme pour les uns, par la prudence pour les autres.
Quant à la feuille de route en question, sa signature sera précédée, comme l'a annoncé Andry Rajoelina, par une réunion des groupements politiques « afin de régler les derniers détails ». Mais sur la base de quelle feuille de route cette réunion va-t-elle se faire ?
Selon Fetison Rakoto Andrianirina, initiateur du concept de « La Paix des Braves », si la base des discussions prend comme racine les résolutions de la réunion de Sandton « tous les groupements politiques répondront présents, et les discussions pourront être constructives et aboutiront peut être à un consensus ».
En revanche, continue-t-il : « si on prend comme base la feuille de route amendée proposée par Tomas Salomao, il n'y aura pas implication de l'intégralité des groupements politiques, et les décisions qui en découleront ne pourront être qu'unilatérales ».
« Unilatérale », c'est également l'idée que se fait la mouvance Ravalomanana de la décision de Andry Rajoelina ,par la voix de Mamy Rakotoarivelo.
Intervenu hier sur la chaîne nationale, le ministre de l'Agriculture de la Transition, Vyvato Rakotovao, s'est fait le porte parole du parti TIM et déclare emboiter le pas du président de la Transition : « nous ne pouvons plus attendre, nous devons aller au plus vite aux élections pour mettre un terme à cette crise ».
La date de la réunion des groupements politiques, préalable à la cérémonie de signature de la feuille de route n'est pas encore connue. Encore moins la date des élections, ni leur nature, sachant que si l'on se base sur la feuille de route amendée de Tomaz Salomao, il n'appartiendra nullement au gouvernement ni à la Présidence de trancher sur la dates de ces élections, mais aux groupements politiques ainsi qu'à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
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