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vendredi 4 février 2011

Mihamaro ireo manala nify


Ny manala azy ihany no fanafodiny. Vao maraina dia efa maro ireo milahatra eny amin'ireo tobim-pitsaboana nify sasany eto an-drenivohitra. Hanala nify no tena anton-dian'ny ankamaroan'izy ireny. Saika nify efa narary ela teo aloha no esorin'izy ireo amin'izany. 

Raha araka ny fanamarihana nataon'i Rakotonirina Omega, mpitsabo nify iray etsy Ampefiloha dia « nihamaro ireo olona tonga manala nify amin'izao ary ireo nify vazana efa simba avokoa ny ankamaroan'ireo nify alan'ireo olona tonga eto aminay ». 

« Ny fahantrana izay miteraka ny tsy fahampian'ireo singa ara-pahasalamana ilain'ny nify no tena mahatonga ny areti-nify mialoha loatra sy ny fahasimbany vetivety. Izany hoe mahatonga ny areti-nify ny tsy fahafahana mihinana sakafo mitondra fluor, vy ary sokay betsaka », hoy ny fanazavana nomen'i Andriamanjato Hery Harimanitra, tompon'andraikitra voalohany misahana ny fahasalaman'ny maso sy ny ati-vava ao amin'ny ministeran'ny Fahasalamam-bahoaka. 

5 000 ariary izao no saran'ny fanalana nifin-dronono, 6 000 ariary kosa ny manala ny nifin'olon-dehibe na vazana izany na nify tsotra. 

Andry Rajoelina, le grand gagnant de la feuille de route de Simao

Après plusieurs jours de consultations, l’émissaire mandaté par la SADC a livré ce qu’il pense être la solution à la crise à Madagascar. A première vue, l’actuel Président de la Transition, Andry Rajoelina, semble en être le grand gagnant. 


 
 
Premièrement, le Dr Leonardo Simao reconnait la présidence de la Transition par Andry Rajoelina. Ce dernier exercera alors la fonction de chef de l’Etat avec toutes les prérogatives qui vont avec, dont notamment la faculté de nommer le Premier ministre et les membres du gouvernement sur les propositions de toutes les forces politiques en présence.
 
 
Pour signifier plus "d’inclusivité et de consensualité", l’émissaire de la SADC a mentionné dans sa feuille de route que toutes les institutions de la Transition à savoir le Congrès, le Conseil supérieur et la CENI, seront ouvertes à l’opposition. Mais là encore, les derniers mots seront encore à Andry Rajoelina qui devra entériner les noms proposés. Par ailleurs, la feuille de route stipule que si des partis refuseraient de participer à la Transition selon ce schéma, ils seront immédiatement classés parmi l’opposition mais auront toutefois la possibilité de s’exprimer librement. 
 
 
 
En ce qui concerne le sort de l’ancien Président Marc Ravalomanana, il ne pourra tout simplement pas participer à la prochaine présidentielle, ce pourquoi, lui et ses partisans ont lutté depuis le début. En effet, la feuille de route de Leonardo Simao mentionne que son retour ne pourra se faire qu’une fois le premier gouvernement de la quatrième république établi.
 
 
Les différents protagonistes se prononceront ce jour sur cette proposition mais il est peu probable qu’un accord puisse être trouvé. Mamy Rakotoarivelo, un des leaders des trois mouvances et secrétaire général du parti de l’ancien Président a fait part de son indignation quant à cette feuille de route du Dr Simao. "Andry Rajoelina n’est pas un président élu alors qu’on lui donne ici plus de pouvoir qu’un autre élu. Nous ne signerons pas cette proposition dans sa version actuelle", avance ce dernier. 

Madagascar: Ravalomanana justifie ses plaintes

Événements de 2009-Madagascar - L'ancien président Marc Ravalomanana s'explique. Il défend sa démarche derrière les plaintes relatives aux événements de 2009, comme c'est le cas du transfert des pouvoirs. « Quel que soit le contexte et l'ambiance politique, les citoyens ont le droit de connaître l'origine de la crise et la responsabilité de chacun », a fait savoir Marc Ravalomanana dans un communiqué qu'il a signé le 28 janvier.

Dans sa lettre, l'ancien chef d'État tente de balayer d'un revers de la main les attaques contre l'initiative. « La mouvance Ravalomanana assume ses responsabilités malgré les critiques dont elle fait l'objet en raison des plaintes déposées (...) Notre démarche ne tend nullement à nuire aux négociations menées par la médiation internationale (...). Ce serait une erreur de soulever ces questions une fois le gouvernement d'union nationale mis en place », soutient-t-il pour évoquer la suspicion autour de la question.

Les reproches fusent après le dépôt des plaintes. Une source autorisée auprès de la Présidence avait remis en cause la possibilité des négociations de sortie de crise en parallèle à ces initiatives.

risque d’invasion de criquets

Une invasion de criquets est à craindre dans le sud de Madagascar, en raison de l’abondance de pluie qui est favorable à leur prolifération, a-t-on appris vendredi auprès du Centre National Antiacridien (CNA) à Antananarivo.
Selon le directeur général du CNA, John Wilson René, la forte chaleur dans le sud ainsi que les fortes pluies vont éclore les larves d’ ici quelques semaines si aucune mesure n’ est pas prise. Pourtant, le CNA a annoncé que 12 000 hectares de foyers infectés de larves de criquets ont déjà été traités depuis le mois d’ octobre dernier alors que le centre a encore repéré plus de 10 000 hectares de zones larvaires dans le sud.
Toutefois, le CNA se dit en manque de moyen de surveillance et de traitement de ces zones par l’insuffisance de budget vu que l’ Etat malgache n’ a reçu aucune aide dans ce secteur suite à la crise politique qui a sévitMadagascar depuis l’ année 2008 et que la Banque africaine de développement (BAD) à la lutte antiacridienne a déjà terminé leur appui pour l’ année écoulée.
Une menace d’ invasion nécessite environ 14,5 millions de dollars alors que les partenaires de la grande île ont débloqué en 2010, 4,7 millions de dollars du Fonds central d’ intervention d’ urgence (CERF) des Nations Unies et 490 000 du Programme d’ urgence pour la coopération technique de la FAO.
Notons que des criquets migrateurs ont infestés toute la grande île pendant quatre ans successives avant l’année 2000 et c’ était la plus grande invasion de criquets connue.