Le groupement pétrolier de Madagascar hausse le ton suite aux décisions du gouvernementales concernant son secteur d'activité. Dans un communiqué de presse, le groupement dénonce ainsi « le caractère unilatéral » de ces décisions qui pousserait l'ensemble de la profession à une situation financière délicate.
En effet, selon l'arrêté n° 4497/2011 du 03 mars 2011, les prix de vente de certains produits pétroliers destinés au marché intérieur doivent être inférieurs à des prix minima fixés par les autorités, et le tarif de stockage de ces produits pétroliers pratiqué par un membre du groupement est baissé de Ar 50/litre.
Le groupement des pétroliers de Madagascar affirme dans le même communiqué que la profession a énormément contribué à la limitation de la hausse des prix des carburants, pour que les consommateurs ne soient pas handicapés quant à la flambée incessante des produits pétroliers. Depuis un an pourtant; les cours mondiaux ont augmenté de 30%.
Cette contribution exceptionnelle que le groupement a accepté dans un espace de dialogue avec les autorités a fait l'engagement de compensation au travers des mécanismes que les autorités n'ont toujours pas mis en place, selon toujours le communiqué de presse. Et c'est ce que déplore le groupement pétrolier de Madagascar, qui demande à l'Etat la mise en place immédiate de mesures d'accompagnements pour ne pas déstabiliser les activités des compagnies pétrolières.
Mis à part les risques financiers, des risques de problèmes dans la chaîne d'approvisionnement sont également à craindre. « Nous ne pouvons plus supporter seuls les derniers mouvements à la hausse des cours mondiaux liés aux évènement internationaux. » réitère le communiqué.
Le groupement des pétroliers de Madagascar appelle ainsi à agir dans une démarche responsable et invite l'Etat à chercher ensemble des solutions pérennes pour ne pas fragiliser son domaine d'activités.
Le groupement des pétroliers de Madagascar affirme dans le même communiqué que la profession a énormément contribué à la limitation de la hausse des prix des carburants, pour que les consommateurs ne soient pas handicapés quant à la flambée incessante des produits pétroliers. Depuis un an pourtant; les cours mondiaux ont augmenté de 30%.
Cette contribution exceptionnelle que le groupement a accepté dans un espace de dialogue avec les autorités a fait l'engagement de compensation au travers des mécanismes que les autorités n'ont toujours pas mis en place, selon toujours le communiqué de presse. Et c'est ce que déplore le groupement pétrolier de Madagascar, qui demande à l'Etat la mise en place immédiate de mesures d'accompagnements pour ne pas déstabiliser les activités des compagnies pétrolières.
Mis à part les risques financiers, des risques de problèmes dans la chaîne d'approvisionnement sont également à craindre. « Nous ne pouvons plus supporter seuls les derniers mouvements à la hausse des cours mondiaux liés aux évènement internationaux. » réitère le communiqué.
Le groupement des pétroliers de Madagascar appelle ainsi à agir dans une démarche responsable et invite l'Etat à chercher ensemble des solutions pérennes pour ne pas fragiliser son domaine d'activités.