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lundi 29 novembre 2010

Remaniement bientôt


Le Premier ministre Camille Vital devrait garder son poste au prochain remaniement s’il faut se référer à la déclaration du président de la HAT  lors de son récent déplacement à Ambohidratrimo. Le Chef du gouvernement doit commencer les consultations. Il est donc on ne peut plus clair que Mahazoarivo restera entre les mains de celui qui a réduit à néant la menace de renversement du pouvoir par une vingtaine de hauts gradés des forces armées après qu’il a réglé l’affaire des FIGN et affaibli les opposants politiques au régime. Des leaders des mouvances comme Fetison Rakoto Andrianirina, Zafilahy Stanislas, Pasteur Edouard Tsarahame sont en prison en attendant leur procès.

Remaniement bientôt


Cela fera bientôt un an que Camille Vital assume ses fonctions de Premierministre. Il est entré colonel. Mais en quelques semaines, il a gagné ses deux étoiles.  Une marque de confiance qui sera réaffirmée par son maintien à ce poste. Le pouvoir de transition l’a choisi d’une manière unilatérale pour remplacer Monja Roindefo, après la parenthèse Mangalaza Eugène. Après l’accord d’Ivato,  le nom du Général  Camille Vital  figure dans la liste des « Premiers ministrables » transmis au président au président de la HAT  Andry Rajoelina. Il est proposé par l’UDRC et le parti TGV. Des partis politiques de l’Escopol ne lui cachent pas leur sympathie bien qu’il n’ait pas été dans la liste de  cette plate-forme politique.
Un gouvernement d’union nationale devrait voir le jour après la proclamation des résultats du référendum. Quel visage aura ce nouveau gouvernement ? Lestrois mouvances politiques étant exclues, il n’inclura que les représentants des partis politiques au sein des institutions de la transition. Outre ceux qui y sont déjà représentés, le gouvernement s’ouvrira sans doute vers l’Escopol qui est à l’origine de l’Accord d’Ivato.  Inutile de spéculer sur les possibles ministres partants et entrants. Certains membres du gouvernement  savent déjà qu’ils ne figureront pas dans le prochain. Certains sont là depuis Monja Roindefo. D’autres sont venus avec le mini-remaniement opéré après la nomination duPremier ministre Camille Vital. Le dernier mot appartiendra certainement au président de la HAT qui les nommera. Il n’a jamais opté pour un remaniement à la hâte, pour ne pas créer de bouleversement.  Mais qui pourraient être les nouveaux ? Les choix se traduiront par l’entrée des hommes de confiance d’Andry Rajoelina dans le gouvernement et sans doute des alliés politiques pour renforcer le pouvoir de transition à un moment ou les tensions politiques s’exacerbent. Mais avec ou sans nouveau gouvernement, le dialogue est toujours au point mort entre les principaux protagonistes de la crise. Laréconciliation nationale n’a pas avancé d’un pouce. La multiplication des foyers de tension reste inquiétante. La crise est loin d’avoir disparu. Le rapport d’évaluation de la situation des envoyés de la SADC sera certainement instructif sur ce point. Wait and see !

BODO : Communion d'une star avec ses milliers d'admirateurs

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C'était assurément l'un des plus beaux concerts de la jeune femme. Quoi de plus normal puisqu'il clôturait en beauté la célébration de ses vingt ans de carrière.
Son public attendait ce show avec impatience et elle a répondu à leur attente avec le professionnalisme d'une grande star. Bodo a émerveillé ses milliers d'admirateurs qui ont rempli le Palais des Sports, vendredi dernier. En près de trois heures trente, elle leur a fait revivre les vingt ans de complicité  qu'elle a vécus avec eux.
Bodo en avait fait un événement exceptionnel car cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas produite au Palais des Sports. Sur le plan technique et  au niveau scénique, tout fut impeccable. Le show commença à 19h30 tapantes. La jeunefemme en pantalon noir et chemise blanche apparut rayonnante. En interprétant ses morceaux, elle se déplaça sur la scène qui avançait dans la salle. Entre elle et ces jeunes qui essayaient de la toucher, la tendresse était palpable. Elle chantera tous ses succès. On citera entre autres  « Paris-Moscou », « Mpanarato », «Heart breaker », «Dada », « Ny fitiavako anao » en compagnie de Jackie. Elle laissera la place à une jeune Vero pour « Neny ». Ses duos avec Poopy ou Hery combleront de bonheur ses admirateurs. Elle ne manquera pas de s'adresser à ses amies chanteuses présentes, Mia ou Fafa Mitia. Toute bonne chose a toujours une fin et c'est à regret que le public la verra conclure ce spectacle justifiant son titre de « diva » que nous lui avons donné, il y a quelques années de cela.

Entretien routier : 65 milliards d’ariary pour 2010-2011

Plus de 11 500 km dont 5 470 km de routes revêtues et plus de 6 000 km de routes non revêtues seront concernés par les travaux d’entretien routier pour la campagne 2010-2011. Ces données sont issues de la réunion de validation du programme d’entretien courant des routes nationales pour 2010-2011 à Toliara les 25 et 26 novembre derniers. Le
ministre des Travaux publics Eric Razafimandimby a assisté à cette réunion au cours de laquelle les services déconcentrés du ministère ont présenté le projet de programme d’entretien courant des routes nationales. Le début de la campagne attendra la signature de la convention programme prévue dans le courant du mois de janvier 2011. Parmi les nouveautés de la prochaine campagne, citons l’entretien progressif. Il consiste à effectuer une grande partie des travaux programmés avec le financement prévu mais en insistant sur la bonne qualité des travaux. Le reste est programmé pour la prochaine campagne et cette fois-là aussi, il s’agit de veiller à la qualité. L’objectif est de mettre à la disposition des usagers des routes qui durent et non des routes auxquelles il faut des retouches régulières et très rapprochées. Outre le confort et le gain économique des usagers donc, cette nouvelle approche devrait aussi faire économiser à terme sur le budget affecté à l’entretien.
Afin de réussir dans cette nouvelle approche, le ministère invite tous les intervenants tant au niveau central qu’à l’échelon inter-régional « à participer activement et dans un esprit d’équipe  la mise en œuvre de la programmation et à la maîtrise de la qualité de sa réalisation ». C’est indispensable pour optimiser et rationaliser le programme d’entretien courant du réseau routier national. Pour la campagne 2010-2011, l’objectif est de conserver le patrimoine routier, relever le niveau de services offerts (dont la sécurité) aux usagers, maintenir la continuité des itinéraires économiques. Notons que chaque direction interrégionale et l’Autorité routière de Madagascar (ARM) doivent présenter vers la 4ème semaine du mois de novembre leur projet de programme d’entretien courant des routes nationales et relatif aux axes qui leur ont été confiés. En ce qui concerne les besoins en entretien périodique et en réhabilitation, ils sont à présenter séparément du programme d’entretien courant. L’idée est de disposer des données nécessaires pour les requêtes de financements ultérieures.
Pour la campagne 2010-2011, la campagne d’entretien courant se répartissent en trois catégories, à savoir les travaux de routine (cantonnage, petits travaux d’urgence, entretien mécanisé), les travaux d’entretien améliorant (terrassements, ouvrages divers, chaussées) et les travaux spécialisés (ponts, points à temps chaussées revêtues, bacs et autres). La campagne qui démarrera bientôt est prévue clôturer les chantiers dans le courant du premier semestre 2011.

Tantely Andrianarivo: Toujours à Antananarivo

Surprise ! Hier soir, un ancien parlementaire Arema nous a affirmé que Tantely Andrianarivo n’est pas parti en France. « Ce n’est pas un homme qui veut fuir, alors que le pays traverse une crise. L’ancien Premier ministre est toujours là. »
En effet, Tantely Andrianarivo a dirigé autour de lui, hier vers 17 heures, des responsables Arema afin de préparer le retour de Didier Ratsiraka. Ainsi, contrairement à certaines radios privées de la capitale, M. Andrianarivo n’a guère l’intention de quitter Madagascar. « L’ex-chef de gouvernement est prêt à prendre ses responsabilités, le jour venu. Pour ce faire, il doit bénéficier du soutien du parti Arema et de l’appui de l’amiral Ratsiraka… Ce qui ne fait pas l’ombre d’un doute », a précisé notre interlocuteur.

SECES : en avant pour une année blanche




Durant son Conseil national tenu jeudi et vendredi derniers, le Syndicat des Enseignants- Chercheurs, forts de leurs représentants en provenance des régions, ont effectué des travaux de commissions. Trois points étaient à l’ordre du jour, à savoir, les revendications, les actions sociales, et la vie politique. Une fois les travaux achevés, les participants ont présenté leurs résolutions en assemblée plénière. Ainsi, le SECES a affirmé son souci d’un « véritable Etat de droit, reconnu par la Communauté internationale ». Par « Communauté internationale », le Syndicat précise qu’il s’agit de l’ensemble de tous les pays, et non seulement les Etats occidentaux ou une partie du monde. De plus, les résolutions évoquent la refondation nationale, pourvu d’une véritable base démocratique dotée de lois en conséquences : partis politiques, loi sur la concurrence, etc. Le SECES s’est déclaré prêt à contribuer à toute recherche de solution, étant donné les responsabilités des enseignants- chercheurs dans la vie de la nation. Dans cette lancée, le Syndicat estime que le pouvoir de transition fait preuve « d’incapacité et d’incompétence » (sic) à résoudre les problèmes actuels. Ce qu’il faut pour diriger le pays, ce sont des gens respectueux de l’éthique, de la souveraineté nationale, de la « civilisation » (« riba ») nationale. Le Conseil national a condamné les harcèlements et poursuites à l’encontre des personnes qui s’expriment, citant notamment le Professeur Raymond Ranjeva. Par ailleurs la grève des enseignants-chercheurs se poursuit, jusqu’à obtention en totalité des revendications, a conclu le SECES. Aucune reprise des cours n’est donc envisagée, les étudiants devront se préparer pour une année universitaire blanche.

dimanche 28 novembre 2010

Tantely Andrianarivo se retire brusquement de la politique


Retrait provisoire, dit sa déclaration. Mais retrait quand même. « Avec mon expérience passée, la gloire et la souffrance que ma famille et moi avons connues, je constate que les conditions ne sont pas réunies pour que je puisse, dans un proche avenir, assumer la fonction qu’un grand nombre d’entre vous souhaite me voir exercer », a fait savoir en fin de semaine l’ancien Premier Ministre. Ce un mois et demi après être rentré au pays et avoir parcouru celui-ci de long en large pour mener des rencontres avec la population dont on ne savait trop si elles visaient à préparer sa candidature à des élections ou à sensibiliser en vue du retour de son mentor Didier Ratsiraka.
Tantely Andrianarivo a précisé que son retrait lui permettrait de se consacrer en toute sérénité à sa famille et aux activités sociales, tout en reconnaissant que le champ politique restait pertinent dans le contexte actuel : « Après avoir parcouru le pays et discuté avec des milliers de personnes sur l’avenir de Madagascar, j’ai eu confirmation des difficultés énormes que rencontre notre pays dans plusieurs domaines, et j’ai senti les fortes aspirations de la population ».
Se référant sans doute à l’atmosphère actuelle après le référendum et la tentative de putsch, l’ancien Premier Ministre souhaite à Madagascar que la sagesse, la vérité et la justice puissent y régner. En tout cas, son retrait semble également simultané avec les propos de Didier Ratsiraka recueillis par nos confrères de la Gazette de la Grande Île déclarant, outre le fait qu’il n’avait rien à voir avec la tentative de putsch, qu’il a « un projet sérieux », non seulement en vue de résoudre la crise, mais aussi pour développer « durablement » l’île.

Mahaleo-40ème anniversaire : Un hommage à Raoul pour commencer


Le groupe célébrera son 40ème anniversaire en 2012 et il se préparait tout doucement à ce jubilé qui marquera le monde de la chanson malgache. Mais le destin a durement frappé Mahaleo avec la disparition de Raoul. La personnalité attachante de cet homme au grand coeur a marqué tous ses admirateurs. Et d'un commun accord, Dama et ses camarades ont décidé de faire comme s'il était toujours là. « Il fait partie de notre famille et quand un de ses membresdisparaît, on ne le remplace pas. » disent-ils en choeur. Mahaleo, c'était un ensemble de sept artistes unis comme les doigts de deux mains. Quatre d'entre eux étaient les compositeurs du groupe. Pour la célébration de ce 40ème anniversaire, ils ont pensé qu'il fallait mettre en valeur ces derniers. Et c'est donc par Raoul que l'on va commencer. L'hommage à Raoul qui va avoir lieu demain après-midi à Antsahamanitra entre dans ce cadre là. Il coïncidera avec lasortie de « aza ilaozanao », l'album de ce dernier. Le concert se déroulera comme suit: pendant la première partie, seront interprétées les compositions du cher disparu, puis viendront les autres morceaux du groupe.

Ouverture de la campagne du litchi: Le ministere du Commerce à l’œuvre


Une délégation du ministère du Commerce conduite par son directeur de cabinet, Ramilison Norbert Gilles, est descendue à Tamatave jeudi dernier dans le cadre de l’ouverture de la campagne 2010-2011 du litchi qui a démarré telle qu’il a été annoncé par les responsables dudit ministère le 26 novembre dernier. Cette équipe du ministère du Commerce, renforcée par le comité technique régional chargé de ladite campagne et où sont représentés les ministères concernés, entre autres, les ministères de l’Agriculture, de l’Aménagement du territoire, des Finance, et bien sûr du Commerce, ont pour principale mission de contrôler la qualité et les normes des litchis destinés à l’exportation. Certes, la gestion de la qualité du litchi, autrement dit le calibrage et le degré de maturité de celui-ci est l’affaire de tout le monde, mais le ministère du Commerce selon son directeur régional, Belalahy Jean Berchmans, est le plus concerné. Il faut savoir qu’à cet effet, tous les collecteurs de litchi de l’ex province de Tamatave qui en comptent au moins 1000 sont formés en la matière par le ministère du Commerce de concert avec des services déconcentrés de la localité, dont celui du conditionnement. Au niveau des stations de traitement du litchi, il importe de savoir qu’il en existe 28 dans cette partie Est de la Grande Ile, dont une située à Brickaville. Afin de répondre au mieux aux exigences des importateurs européens, ces stations de soufrage subissent deux audits avant d’être agrées. Signalons que l’agrément en question est signé par le responsable de la direction de la concurrence et de la protection des consommateurs du ministère du Commerce et cautionné par le groupement des exportateurs des litchis ou GEL. En somme, cette équipe du ministère du Csommerce aura donc de ce fait à procéder au contrôle de triage, de calibrage et du degré de maturité indiqué de notre litchi au niveau de toutes ces stations pour éviter toute erreur pouvant nuire à son exportation.

Nodimandry i Elie Rajaonarison: Very olomanga ny tontolon'ny zava-kanto Malagasy

Nodimandry tamin'ny asabotsy 27 novambra 2010, teo amin'ny faha-59 taonany i Elie Rajaonarison noho ny tsy fahasalamana tampoka.
Rajaonarison Elie no anarana nasalotry ny ray aman-dreniny azy. Teraka tao Ambatondrazaka izy ny 15 novambra 1951. Anisan'ny antony iray nireharehany sy nametrahany ho hambo ny maha gaona azy izany, na avy eny Ambohidrano Atsinanana, Avaradrano aza no tena fiaviany.
Olon'ny soratra feno i Elie Rajaonarison. Iray tamin'ireo angady nananana sy vy nahitana ny fijoroan'ny Faribolana Sandratra izy, roapolo taona mahery izay. Niaraka taminy tamin'izany ry A.R.Ni.(efa maty), Solofo José sy Lydiary, Manitra Andriamasinoro, Rakotonirina Gérard, Ranöe, J.Nalisoa Ravalitera. Mbola izy koa no lakana nampita sy nametraka ny Antsan-tononkalo fanaon'ny Faribolana Sandratra ao amin'ny Goethe Zentrum/CGM, Analakely, niaraka tamin'ny talen'io foibe ara-tsaina io, Eckehart Olszowski, roapolo taona lasa izay.
Toy ireo mpiray faribolana aminy, na tsy tafaraka aza, anisan'ireo mpiondrika sy mpitady boky tranainy na saro-tadiavina eny amin'ny boky tonta izy. Maro amin'ireo nifanerasera taminy no tafara-dalana taminy tamin'ireny fotoana ireny. Raha fehezina, iray amin'ireo karazan'olona mpiondam-boky i Elie Rajaonarison.
Mbola eo amin'ny sehatry ny zavakanto sy ny soratra ihany, maro ny boky misy ny sorany : Amboaran-tononkalo I, Ranitra, Sandratr'Antsa, Anjambolana, sy ny maro hafa, izay novokarin'ny Faribolana Sandratra sy/na ny Edisiona Tsipika, ankoatra ireo amboara madinika famoakan'ny Faribolana isam-bolana sy ny gazetin'ny haisoratra " Ambioka ". Boky farany nivoaka teto an-toerana ny " Anjoria ", niarahany nisalahy tamin'ireo zandry ao amin'ny Faribolana Sandratra nandritra ny Antsan-tononkalo tao amin'ny Cgm tamin'ny volana oktobra lasa teo.
Iray amin'ireo nomanin'ny mpiray faribolana hitondra lahadinika ao amin'ny Foibe Unesco ao Behoririka izy ka ny 15 desambra izao no fandaharam-potoana.  "Redy anjoria : any ambadiky ny misy ny misy ", no lohateny saiky natolony.
Nilona tamin'ny tontolon'ny kolontsaina sy ny serasera i Elie Rajaonarison. Iray tamin'ireo fitarikandron'ny FM tamin'ny onjampeo teto Madagasikara, niaraka tamin-dry Tsilavina Ralaindimby, Niry Ravelojaona ary Nicolas Ratsimandresy izy. Mbola nifanosona taminy hatrany ireo nandritra ny fahavelomany, nikirakira ny sehatry ny zavakanto sy ny kolontsaina. Nilofosany ny famokarana sy fitadiavana sehatra hivelaran'ny kolontsaina sy ny zavakanto malagasy ka nanjary nifaneraserany tamin'ireo sokajina mpanakanto maro toa an-dry Njila, Samoela, Ricky, Tsiakoraka, Tselonina, Ifanihy, Ralanto, Sesely, sy ny maro hafa sy ho voatanisa. Notohizany teny Ambohitsaina izany tamin'ny fampiroboroboana ny Oniversite sy ny kolontsaina tamin'ny alalan'ny fampianarana tao amin'ny "Médiation culturelle ". " Poète universitaire " rahateo no famaritany ny tenany, araka ny fanazavan'ny fianakaviana. Ankoatra ny maha poeta azy, mpampianatra sy mpikaroka eny amin'ny Oniversite, amin'ny sampana " Anthropologie " i Elie Rajaonarison. Nitety faritra maro niaraka tamin'ny mpiray faribolana izy, nanapariaka ny kanto vita amin'ny soratra toa an'Antsirabe, Ambatondrazaka, Mahanoro, Vatomandry, Toliara, Antsiranana, Toamasina sy ny maro hafa. Tsy vitsy koa no niarahany tamin'ireo mpisehatra ny kolontsaina hafa. Voatety hatrany amin'ny Ceg sy lycée isan-karazany.
Mpaka sary kanto koa ny lehilahy izay narantiny ao amin'ny Ccac nomeny ny anarana hoe " Dindo sy Vina". Mpandrindra an-tsehatra tamin'ny seho maro koa izy.
Nahatazanana azy koa ny tontolon'ny politika. Iray tamin'ireo namorona ny antoko Avi izy, araka ny fahafantarana azy. Efa nitana andraikitra ambony tamina minisitera toy ny sekretera jeneralin'ny minisiteran'ny kolontsaina sy ny serasera, mpiandraiki-draharaha tao amin'ny minisiteran'ny raharaham-bahiny amin'ny maha diplaomaty azy, mpanolotsaina tany amin'ny minisitera, mpanolotsain'ny kaominin'Antananarivo Renivohitra. Azo lazaina fa nandray anjara feno tamin'ny fiainam-pirenena i Elie Rajaonarison. Manam-boninahitra fiandry koa izy. Niofana tao amin'ny Akademia miaramilan'Antsirabe, andiany " Dimby ". " Katibo " tamin'ireo indray andia taminy izy, ary niasa tany amin'ny Bani Ivato tamin'ny fotoan'androny. Nisafidy ny lalana nampianatra teny amin'ny Oniversite izy, taorian'izany.
Fiteniny amin'ny mpiray Faribolana ny hoe " Izay tsy mihetsika, … mihitsoka ", "Izay tsy mahandry … mandeha ", " Isika mizara fanahy ", " Isika tsy mitsoka lavenona fa mikopaka ny afo ho velona ", "Mamorona fa tsy mamerina ".
Manambady an'i Mamie i Elie Rajaonarison, manan-janaka telo mirahavavy sy zafikely maromaro.
Amin'ny ora nanoratana ity fampahafantara fohy ity dia mbola tsy fantatra mazava ny fandaharam-potoana amin'ny fandevenana hatao eny Ambohidrano Atsinanana. Hisy "Alim-betso" hokarakarain'ny Faribolana Sandratra mandritra ny fiandrasana ny razana ao Lazaina ny alatsinainy alina mandra-maraina. Fantatra fotsiny fa ny talata amin'ny 2 ora tolakandro no hiainga ao Lazaina ny razana ary hoentina amin'ny iray amin'ireto toerana ireto : Tranompokonolona Analakely na Espace Rado ka andrasana amin'ny iray amin'ireo toerana ireo, hisian'ny fanomezana mariboninahitra. Ny alarobia no hoentina eny amin'ny Esplanade Oniversiten'Antananarivo ary miala eny amin'ny 11 ora antoandro eo ho eo. Hoentina ao amin'ny Fjkm Ambohidrano Atsinanana mialoha ny hanitrihana ny razana.

samedi 27 novembre 2010

Les conditions de Paris pour valider le putsch d’Andry TGV Rajoelina



L’argent du sommet de l’UA finance Andry TGV Rajoelina

Pour financer l’activité du gouvernement, les dépenses de son président Andry Rajoelina, dit TGV, et certains projets, la Haute Autorité de transition (HAT) a largement puisé dans un compte du Trésor, doté de 39 milliards d’ariary (14,4 millions €) à la date d’avril 2009, initialement prévu pour financer le projet avorté de sommet de l’Union africaine (UA) à Antananarivo.

Un document du Trésor, dont La Lettre de l’Océan Indien s’est procuré une copie, détaille les mouvements de ce compte entre le 17 mars 2009 (chute de l’ex-président Marc Ravalomanana) et début juillet 2010, où le solde n’était plus que de 19,9 milliards d’ariary (7,3 millions €). Des intermédiaires, dont les noms figurent sur ledit document, se présentaient au guichet de la Direction de la comptabilité publique pour récupérer en cash les sommes affectées à leur activité. Ainsi, l’ancien ministre de la défense, le général Noël Rakotonandrasana, s’est déplacé en personne au Trésor, notamment le 3 avril 2009, pour y retirer 41 millions d’ariary (15 000 €). Le général Claude Ravelomanana en a fait de même pour récupérer des fonds au nom de la gendarmerie, tout comme le commissaire divisionnaire de police Edmond Rakotonarivo. Ce compte a également servi à financer des dépenses courantes de la HAT : réparations ou achats de voitures chez Materauto, insertions publicitaires dans le quotidien Midi Madagascar, factures du jet de GS Aviation, compagnie appartenant au groupe Sipromad d’Ylias Akbaraly, que TGV utilise pour ses déplacements. Tiana Randrianasoloarimina, un agent de la présidence de la HAT et homme de confiance de TGV, fut le plus assidu à piocher dans ce compte.

Les conditions de Paris pour valider le putsch d’Andry TGV Rajoelina

Le ministère français des affaires étrangères vient de dresser la liste des conditions auxquelles Andry Rajoelina devrait être soumis pour obtenir l’appui de Paris.

Exclusif.

Dans un document de travail daté du 2 novembre, et dont La Lettre de l’Océan Indien a obtenu une copie, la diplomatie française a énuméré les propositions qu’elle soumettra aux autres membres du Groupe international de contact (GIC) et aux pays intéressés par une relance de la médiation internationale sur la crise malgache. Plusieurs conditions sont adressées au président de la Haute Autorité de transition (HAT), Andry Rajoelina, dit TGV. Elles sont présentées comme indispensables s’il veut obtenir une reconnaissance internationale en tant que chef de la transition.

Au premier rang d’entre elles figurent

* la réaffirmation par TGV qu’il ne se présentera pas au prochain scrutin présidentiel, suivie de l’octroi, avant les prochaines élections,
* d’une large amnistie pour tous les événements politiques intervenus entre 2002 et 2009, ainsi que de la suspension des poursuites judiciaires engagées depuis le début de la transition.

De leur côté, l’ensemble des candidats aux élections devrait s’engager sur « un code de bonne conduite politique et citoyenne ». Ce texte écarte tout retour à Madagascar de l’ancien président Marc Ravalomanana « jusqu’à l’instauration d’un environnement politique et sécuritaire favorable ». Pour garantir le bon déroulement des scrutins, il propose « une recomposition » de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.

Si Andry Rajoelina accepte ces conditions, il se verrait accorder des garanties quant à son statut de président de la transition (comme le droit de représenter son pays sur la scène internationale) et à son futur statut d’ancien chef de l’Etat. Pour l’amener à s’inscrire dans cette logique, Paris propose de relancer la médiation internationale sur la base d’une « approche réaliste ». Il est également question de l’envoi d’une mission internationale d’appui aux futures élections malgaches et de la désignation rapide d’un envoyé spécial permanent du médiateur mozambicain Joaquim Chissano. Paris serait enfin disposé à plaider en faveur de l’envoi d’une mission conjointe du FMI et de la Banque mondiale à Antananarivo. »


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a.Nary

mercredi 24 novembre 2010

Droit à la Terreur

La liberté est une denrée rare, précieuse, dont la quête est difficile.
Il a fallu à l’Europe plusieurs siècles, plusieurs guerres, deux génocides, des millions de morts et de longues et multiples mouvements de contestation pour atteindre le niveau de démocratie qu’elle connait actuellement. Certains disent, contrairement aux philosophes des Lumières, que les hommes ne sont pas nés libres ni égaux. Il a fallu de hautes luttes souvent meurtrières pour que les droits des citoyens soient reconnus dans les Républiques considérées comme les plus démocratiques de la planète. Comme tous les biens précieux, la liberté ainsi que les droits fondamentaux acquis doivent être défendus, les tentatives autoritaires n’étant pas toujours absentes chez les dirigeants politiques même ceux qui sont montés au pouvoir en respectant les règles démocratiques. On se souvient qu’Hitler lui-même, pourtant considéré comme le plus grand criminel du XXème siècle, était devenu Chancelier par la voie des urnes. Cela ne l’a pas empêché de supprimer tous les droits démocratiques des Allemands tout en installant un régime totalitaire liberticide. Sans doute, la démocratie serait-elle le moins pire de tous les régimes. Cela n’empêche qu’aucun citoyen n’est né démocrate et qu’aucune société n’a le monopole des valeurs démocratiques. Néanmoins, comme disait un grand écrivain français, la mort de Socrate n’a pas pali le caractère démocratique d’Athènes et la condamnation de Dreyfus n’a pas terni l’image de la France comme terre de la Déclaration des droits de l’Homme et des citoyens. Dans les deux cas, ces événements ne sont que des jalons sur la longue évolution de ces Républiques vers une société plus démocratique. Certes, la crise de 2009-2010 influencera fortement la destinée de la Grande Ile, ses contemporains ne peuvent qu’en ressentir les ravages notamment socioéconomiques qu’elle a engendrés. Mais en aucun cas, elle ne devrait pas handicaper la marche du pays vers une société où les libertés et les droits des citoyens seront respectés. Comme toutes les autres Républiques, Madagascar aura son lot de crises avant l’instauration définitive d’une démocratie digne de ce nom. Après les Révolutions et avant la démocratie, tout pays a droit à la Terreur. Dure réalité, mais il n’y a pas de quoi désespérer.

le procès de Fetison Andrianirina reporté


Fetison Andrianirina (au centre), (Ph : Lexpressmada.com)
Le procès du chef de la délégation de la mouvance Ravalomanana, Fetison Andrianirina, de Stanislas Zafilahy et du pasteur Edouard Tsarahame qui devait se tenir mardi au tribunal d’Antananarivo, dans la capitale malgache, est reporté pour le 25 janvier 2011, selon une source judiciaire.
Selon le juge responsable de l’ affaire, la raison de ce report du procès était l’ absence injustifiée des trois inculpés au tribunal.
Toutefois, pour que les inculpés viennent au procès, un ordre d’ extraction doit être émis par le parquet aux responsables de l’ administration pénitentiaire où ils sont détenus. Pourtant, depuis samedi dernier, ces trois personnes sont restés introuvables, a indiqué leur avocat, Maître Hanitra Razafimanantsoa devant la barre et aucun ordre d’ extraction n’ a été remis.
Selon les dernières nouvelles, une caravane est prévue transporter Fetison et les deux autres inculpés de la prison de Fianarantsoa, une ville située à 430 km au sud de la capitale, vers Antananarivo, samedi matin. Mais aucune suite n’ a été donnée alors que normalement, d’ après Maître Hanitra Razafimanantsoa, on devrait la mettre au courant de tout déplacement de ses clients.
Le chef de la mouvance de l’ ancien président Ravalomanana, Fetison Andrianirina et ses partisans, d’ occuper un stade de rugby au centre ville de la capitale en vue d’ une manifestation le mercredi 10 novembre, et qui a été refusée à la dernière minute par le préfet de police d’ Antananarivo. Ils ont insisté sur le rassemblement et le commandant de la circonscription régionale de la Gendarmerie nationale à Antananarivo (CIRGN), le colonel Richard Ravalomanana, a procédé à leur arrestation pour "acte de déstabilisation en vue de perturber le déroulement du référendum du 17 novembre".
Leur arrestation porte également, à part la tenue d’ une manifestation illégale, l’ incitation à la destruction de biens d’ autrui ainsi que la prolifération de propos injurieux à l’ endroit des forces de l’ ordre dans l’ exercice de leur métier.

mardi 23 novembre 2010

« Un tournant critique »

La population se trouve dans l’expectative après le référendum sur laConstitution et l’arrestation du groupe de hauts gradés des forces armées, généraux et colonels, qui voulait substituer le pouvoir de transition par un Comité militaire de salut public. Elle l’est d’autant plus que les élections municipales et des maires  prévues le 20 décembre prochain sont reportées par le Conseil Supérieur de la Transition à une date ultérieure. C’est dans ce contexte difficile et complexe que l’International Crisis Group dont la notoriété des analyses ne fait pas de doute affirme avec certitude que «ces derniersdéveloppements démontrent la fragilité de la longue crise malgache et la nécessité, d’adopter une nouvelle approche». International Crisis Group est une organisation non-gouvernementale indépendante à but non lucratif. Son  approche est fondée sur la recherche de terrain. Il rédige des rapports analytiques rigoureux qui s’accompagnent de recommandations pratiques destinées aux décideurs internationaux.

« Un tournant critique »

Dans son Rapport Afrique  N°166 du 18 novembre 2010, International Crisis Group se penche sur le cas malgache. Le titre du rapport «Madagascar: la crise à un tournant critique ?» La perception et l’analyse de la situation ne manquent pas d’intérêt dans la mesure où toutes les tentatives de médiation ont échoué et laissé la place aux décisions unilatérales. Les recommandations du rapport pourraient grandement aider ceux qui réfléchissent sur la meilleure voie desortie de crise. D’après l’organisation, « Si les autorités persistent dans l’organisation unilatérale d’élections en 2011, la communauté internationalerefusera certainement de reconnaître le nouveau régime et la crise pourrait durer encore plusieurs années, avec des conséquences désastreuses pour le pays et la population». Elle pense par conséquent que « l’objectif des mois à venir doit donc être l’organisation d’élections crédibles avec le soutien de la communauté internationale, qui seules permettront au pays de retrouver un ordre constitutionnel et de relancer son économie». A cette fin, International Crisis Group estime que les acteurs politiquemalgaches et la communautéinternationale devraient favoriser l’avènement d’un accord entre la SADC, le GIC et le pouvoir de transition sur «un soutien international au processus électoral».  D’après l’organisation « Ce soutien devrait être soumis au respect de certains engagements par le régime, tels que la confirmation de la non candidature d’Andry Rajoelina ainsi que de ses ministres aux élections, la révision du calendrier électoral, la transparence en matière de contrats signés par les autorités, l’absence de prises de décisions en dehors du domaine des affaires courantes, la prise de mesures d’amnistie telles qu’envisagées dans les précédents accords, et un audit des finances publiques par les institutions financières internationales». Pour International Crisis, des élections crédibles, totalement indépendantes des autorités, devraient être organisées le plus rapidement possible avec un CENI  remanié et acceptable par toutes les parties. L’organisation  recommande l’urgence d’une réunion du Groupe International de Contact pour que la communauté internationale puisse agir de manière coordonnée.  La balle est dans le camp des décideurs malgaches.
Zo Rakotoseheno

lundi 22 novembre 2010

« Affaire de la BANI » Affaire de gros sous


Le colonel Richard Ravalomanana révèle que les perquisitions au domicile du général Noël Rakotonandrasana ont permis de découvrir des chèques d’un montant de plus d’un milliard de FMG qui se ventilent ainsi : un chèque de 200 millions Ar, un autre chèque de 16 millions Ar et un dernier de 3 millions Ar. Les perquisitions au domicile du lieutenant colonel Charles Andrianasoavina par contre ont mis à jour des dossiers divers ayant trait aux préparatifs du coup dont des noms de personnes parmi lesquels un nom de femme qui aurait été la future Premier ministre si le coup avait réussi. Le nom de cette femme n’a pas été dévoilé.
D’autres domiciles ont aussi été l’objet de cette fouille. Parmi eux, celui où habite le Pr Raymond Ranjeva. Le domicile en question abrite normalement la fille de cet éminent juriste de renom international et son époux qui est le directeur de publication du journal Madagascar Tribune format papier. Les époux ont été entendus un à un à la CIRGN Ankadilalana ce lundi 22 novembre. La fille de Raymond Ranjeva aurait pu être retenue en garde à vue pendant plusieurs heures. Il semble qu’on les soupçonne d’atteinte à la sûreté de l’Etat. En tout cas, on croit savoir que le Pr Raymond Ranjeva serait lui aussi entendu ce jour à Ankadilalana par les hommes du colonel Richard Ravalomanana.

Prix du riz/ Un renchérissement notoire

Durant la  semaine du 15 novembre, les niveaux des prix moyens au kilo enregistrés se sont situés à Ar.1111 pour le riz local, à Ar.1229 pour le riz importé et à Ar. 599 pour le paddy.
Et  en se référant à la semaine dernière, les données de l’Observatoire du Riz (OdR), il est mentionné qu’on a observé une stabilité relative des prix moyens au kilo du riz.
En effet, les variations sont de l’ordre de +1% pour le « vary gasy », le « makalioka » et le riz importé, de -2% pour le paddy.
Le déstockage des opérateurs et des greniers communautaires villageois (GCV) ainsi que le début de la récolte de « vary aloha » dans quelques Régions telles que Sud-est et Ihorombe ont contribué à cette stabilité.
Par rapport à l’année dernière à la même période, les niveaux de prix du riz blanc dans cette semaine ont augmenté de 11% pour le « tsipala », de 10% pour le riz importé, de 8% pour le « vary gasy », de 7% pour le « makalioka » et de -5% pour le paddy.
En tout cas, au regard de cette semaine considérée, on a constaté une élévation de prix moyen du sucre et de l’huile en vrac avec une variation respective de 2% et de 4% par rapport à la semaine dernière. La hausse de prix du sucre dans les Régions Itasy (6%) et Est (5%) ainsi que l’augmentation des prix de l’huile en vrac dans les Régions Est (12%) et Boeny (10%) par rapport à la semaine dernière ont tiré à la hausse les niveaux de prix de ces produits l.
Quant à la farine et au pétrole, les prix restent fermes.
Et au sujet du riz local, la même source indique, surtout, que les prix moyens au kilo enregistrés sont compris entre Ar.928 (à Alaotra Mangoro) et Ar.1362 (à Androy). En outre, 16 Régions sur les 21 observées ont affiché des prix moyens au kilo supérieurs à Ar 1050.
Ce prix plancher à Alaotra Mangoro est dû à l’abondance du riz vendu sur le marché suite au déstockage des GCV et des paysans. De plus, le prix a chuté de 6% par rapport à la semaine dernière.
Quant au prix plafond à Androy, le déséquilibre entre l’offre et la demande en est la raison.
Pourtant, le prix moyen au kilo a renchéri de 3% par rapport à la semaine dernière en raison du retard d’approvisionnement.
En outre, et en comparant à la semaine dernière, une augmentation de 6% de prix du riz blanc local a été enregistré dans la Région Itasy. Cette hausse est due principalement à l’arrivée de la période de soudure, amplifiée par des fortes pluies, rendant difficile l’approvisionnement en riz du marché.
En général, les prix ont été stables avec des variations comprises entre -2% et +1% grâce au déstockage des GCV et l’approvisionnement régulier des marchés ainsi qu’au début de la récolte de « vary aloha » dans les Régions Sud-est et Ihorombe.
Et davantage, il est décrit qu’au niveau District, les niveaux des prix au kilo sont situés entre Ar 840 (District de Bealanana, Région Sofia) et Ar 1400 (District de Sainte Marie, Région Analanjirofo ; District de Benenitra, Région Sud- Ouest ; Districts de Beloha et de Tsihombe, Région Androy).
De tout ce qui précède,  et  au niveau Régional, il est mentionné que  la vente du riz importé s’est effectuée dans 8 Régions sur les 21 observées. Elle a eu lieu principalement dans les littorales et la capitale. La fourchette des prix moyens au kilo a été d’Ar.1043 (Région Atsinanana) à Ar.1409 (Région Androy).
Pour le riz importé, il est dit que par rapport à la semaine dernière, le prix moyens au kilo du riz importé a été stable suite à la régularité de l’approvisionnement dans les zones ayant une difficulté alimentaire.Il s’ensuit qu’au niveau des Districts, les prix ont varié d’Ar 980 (District d’Ambilobe, Région DIANA) à Ar 1575 (District de Tsihombe, Région Androy).
La carte ci-après montre que des prix au kilo supérieurs ou égaux à Ar 1200 ont été enregistrés dans les Districts de : Antsiranana I, Antananarivo Avaradrano, Fenoarivo Atsinanana, Soanierana Ivongo, Sainte Marie, Mananara Nord, Farafangana, Vangaindrano, Toliara I, Ankazoabo, Ampanihy, Ambovombe, Bekily, Beloha et Tsihombe.
Et au sujet de la transaction de paddy ; l’OdR mentionne qu’au niveau des décortiqueries, elle  est au nombre de 17 sur les 21 observées.
Dans la plupart de Régions, le paddy est vendu encore à plus d’Ar 500 le kilo. Seules les Sofia et Analanjirofo ont possédé respectivement les prix moyens au kilo à Ar 402 et Ar 300.
De plus, les prix moyens au kilo ont été compris entre Ar 300 (Région Analanjirofo) et Ar 960(Région Amoron’i Mania).
Et par rapport à la semaine dernière, on a remarqué une augmentation de 3% de prix moyens au kilo du paddy dans les Vakinankaratra et Itasy. Cette hausse est expliquée généralement par l’arrivée de la période de soudure et la rareté du paddy vendu suite à la baisse de stock.
Cependant, les prix ont diminué dans les Régions Ihorombe (3%) et Boeny (8%) en raison : - de la poursuite de la récolte de « vary jeby » pour Boeny, - du début de la récolte de « vary aloha » dans le District d’Ihosy et le déstockage des vendeurs dans le District d’Ivohibe pour Ihorombe.
En général, les prix ont été stables en grâce à la disponibilité des riz vendus sur les marchés dans presque les Régions.
Dans ce contexte, il est dit que les prix moyens au kilo du paddy au niveau des Districts ont varié entre Ar 300 (District de Soanierana Ivongo, Région Analanjirofo) et Ar 945 (District d’Ambatofinandrahana, Région Amoron’i Mania).