VAOVAO TVM MIVANTANA

TVM EN DIRECTE.

VAOVAO

.

.

VAOVAO

jeudi 7 octobre 2010

Diniho kely ity: Mitandrema tsara àry!

Raha ny vaovao re, omaly, dia efa nametraka "préavis" na filazana mialoha fa hitokona koa ny mpiasampanjakana, manomboka ny talata ho avy izao. Na tsy holazaina aza dia azon'ny maro an-tsaina fa ny resaka karama no anton'izany "grevy" izany. Ny mpanaraka ny raharaham-pirenena dia mbola tsy mba nanenjika na nanome tsiny ny mpitokona, rehefa mandeha araka ny lalàna izany. Rehefa misy ny "service minimum" ka tsy mikatso ny raharaham-pirenena; rehefa tsy antony pôlitika, na hikendry fanakorontanana no anaovana azy dia hajaina tanteraka ny zon'ny mpanao fitakiana. Matoa koa misy ny fitakiana ka tonga hatrany amin'ny fitokonana dia satria misy ny soa heverina fa tokony ho azo kanefa tsy azo.
Na izany na tsy izany aza anefa dia misy ihany ny fanamarihana tiana hatao. Raha ny marina dia ireo azo lazaina ho mpiasampanjakana "madinika" ireo milaza ny hitokona ireo, ary izany no mahatonga ny mpanaraka ny raharaham-pirenena hanontany ny hoe tsy matahotra ve ry zareo ireo ê?...
Iaraha-mahalala ny zava-misy eo amin'ny sendikan'ny mpitsara sy ny minisitera misahana azy ireo fa efa tonga hatrany amin'ny hoe hotapahina ny karaman'ny mpitokona. Ahiana ho tahatahaka izany koa, hono, ny ho fanapahana mikasika ny mpampianatra mpikaroka eny amin'ny oniversite… koa raha izany ve no hahazo an'ireo fonksiônera "madinika" dia ho tantiny ê?... Efa nisy, ohatra, ny tapaka karama, tamin'ny fotoanan'ny teo aloha, dia ny mpitarika ny Seces, na ny sendikan'ny mpampianatra mpikaroka, fa azo lazaina ho "nahazaka" izy ireo rehefa nifanohantohan-tsy ho lavo teny. Ho afaka hanao tahaka izany anefa ve ireto "madinika"?...
Nilaza moa ny mpitondra tenin'ireo hitokona ireo fa "efa mafy lamosina", kanefa tsy hahadiso angamba ny hilaza ny hoe mila fitandremana ihany ity hetsika hataon-dry zareo ity. Vao tara andro vitsivitsy fotsiny aza mantsy ny karama dia efa mikaikaika ny mpiasampanjakana koa mainka fa tsy handray mihitsy?… Sao re sanatria ka hitarika ady an-trano ao amin'ny samy "mpitolona" izany ê.
Fantatra ihany koa anefa fa ilay sokajin'ny mpiasampanjakana matahotra famindran-toerana ireto manomana fitokonana ireto, koa tsy hohalavaina ny resaka fa hoy ny mpanaraka ny raharaham-pirenena hoe mitandrema àry dia… diniho tsara ny hatao ê!

Croissance économique: La crise persistante n’arrange rien

Alors que la classe politique et les organisations soi-disant civiles en sont encore à la recherche d’une vraie solution de sortie de crise, l’économie risque de s’enfoncer dans l’abîme. Certes, quelques secteurs survivent et rebondissent et c’est le cas du tourisme et de certains secteurs de services, mais dans l’ensemble, c’est la morosité. Des économistes prévoient même un deuxième semestre 2011 et une année 2012 très difficiles. Ce qui veut dire que les opérateurs économiques et les consommateurs n’auront qu’un sursis d’à peine 8 mois avant les grosses difficultés. Avec la persistance de la crise donc, Madagascar aura du mal à redresser la situation socioéconomique. Si les aides extérieurs pleuvaient à l’issue de la crise politique de 2002, le contexte a beaucoup changé depuis : les pays riches sont frappés par la crise économique internationale et les aides au développement ne seront plus ce qu’elles étaient. Il ne faudra donc pas compter sur des montants colossaux comme les 900 millions de dollars d’aides entre 2005 et 2007, à moins de réussir à convaincre les nouveaux bailleurs de fonds comme l’Inde et la Chine à octroyer plus de financements.
En Afrique subsaharienne pourtant, la croissance devrait atteindre les 5% cette année selon les dernières prévisions du FMI, soit une hausse de 0,3% par rapport aux prévisions antérieures. Madagascar est aux antipodes d’un tel scénario. Si le  gouvernement était optimiste dans la loi de finances initiale 2010 en misant sur une croissance de 2,6%, la loi rectificative la situe à 0,8%, contre 0,6% en 2009. Il faut déjà rappeler que lors de l’élaboration de la loi de finances 2010, des techniciens des ministères concernés ont affirmé que les prévisions étaient prudentes. En fait, ils misaient sur une résolution assez rapide de la crise. Mais contre toute attente, celle-ci persiste et n’arrange rien. En attendant, l’Afrique subsaharienne devrait afficher une croissance de 5,9% en 2011, contre 2% en 2009. Même au plus fort de la crise économique internationale donc, cette partie du continent a tenu bon étant donné qu’elle est éloignée des courants financiers mondiaux et qu’elle a assez investi dans les réformes économiques pour résister. A Madagascar, les réformes finissent souvent queue-de-poisson. Si l’on ne cite que les réformes des licences et des autorisations, l’Economic development board of Madagascar (EDBM) s’y est attelé il y a quelques années, mais la concrétisation ne s’est pas fait faute de volonté politique.
Autrement dit, Madagascar est toujours à la traîne même parmi les pays qui ont les mêmes conditions similaires que lui. De nombreux analystes affirment, en revanche, que l’Afrique est sur la bonne voie. Plus durement touchée par le recul des commandes de matières premières par les pays occidentaux, elle a pu redresser vite la barre grâce à la rapide reprise de la demande de ces matières indispensables aux industries. Il y a aussi les politiques économiques adaptées qui  ont permis à de nombreux pays de l’Afrique subsaharienne de redresser leur situation économique à une vitesse soutenue.

Coup d’Etat: Ce n’était pas une rumeur

Les rumeurs qui ont circulé ces derniers jours, sont maintenant prises au sérieux. Il s’agit de cet éventuel coup d’Etat, visant à décapiter les dirigeants de la Transition. Maintenant, il s’avère qu’un putsch a été (ou est) en préparation. Quelques généraux et colonels ainsi que des « intellectuels », dont un journaliste connu, au titre de caution morale, ont concocté une opération (hautement) déstabilisatrice. Informée, apprend-on, la présidence de la HAT, avec l’aide de ses services de renseignement, a déjoué le coup d’Etat, en déployant les mesures nécessaires. Et sans pour autant procéder à des arrestations… En tout cas, ces personnes en question sont désormais dans le collimateur des autorités militaires.

fermeture de 50 stations radios et télévisions pirates

Cinquante stations radios et télévisions pirates ont été dénoncées à Madagascar par le ministre malgache de la Communication au sein de la Haute Autorité de Transition (HAT), Malazarivo Felix.

Lors d'un point de presse tenu mercredi après-midi dans son bureau, M. Malazarivo Felix a dit que parmi les 300 stations radios et 25 stations télévisions identifiées officiellement par le ministère de la Communication, 50 fonctionnent illégalement.

M. Malazarivo a indiqué que la Commission Spéciale à la Communication Audiovisuelle (CSCA), au sein de son ministère a fermé ces stations pirates pour assainir le paysage audiovisuel dans le pays.

Rappelant la procédure d'ouverture d'une station comprnant plusieurs étapes, mais des stations commencent à émettre après avoir accompli la première étape, alors qu'elles n'ont pas encore de permission à faire l'essai.

D'autres continuent à fonctionner pendant plusieurs mois avec seulement leur permission d'essai pour trois mois. D'autres ne respecte pas le cahier de charge, a fait savoir M. Malazarivo. 

Une malgache arrêtée pour trafic de drogue à Maurice



Une mère de famille de nationalité malgache âgée de 37 ans, a été interpellée à sa descente de bateau samedi en possession de 455 grammes d’héroïne d’une valeur marchande de 167.000 dollars, a révélé la police mauricienne mercredi soir.
La Malgache, qui vient de la région de Tamatave dans l’est deMadagascar, a été arrêtée par une équipe conjointe de la police anti-drogue (ADSU) de la douane menée dès l’accostage du bateau à Port- Louis. Une fouille systématique des bagages de la passagère malgache devait déboucher sur la découverte de trois colis contenant une poudre de couleur jaunâtre.
Les trois sachets recouverts de papier aluminium ont été placés dans la doublure d’un des sacs en possession de la Malgache. Au moment de son arrestation, elle a fait comprendre aux limiers de l’ADSU qu’elle ignorait l’identité du contact mauricien qui allait venir prendre livraison à Port-Louis mais a indiqué le pensionnat où elle avait fait une réservation en attendant d’établir les contacts nécessaires à Maurice.
La Malgache a comparu mercredi matin devant un tribunal de Port-Louis pour son inculpation provisoire d’importation de drogue. Elle sera interrogée par l’ADSU après avoir reçu la visite d’un représentant de l’ambassade de Madagascar à Maurice vers la fin de la semaine.