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lundi 30 mai 2011
Les deux visages de l'Afrique Cenamor cadres pour photos Madagascar et le Malawi en collaboration avec Isabel Caamaño
Luis P. Ferreiro | A CoruñaA l'intérieur du cercle de cache Grela Une boutique Smiles Gallery, située dans un entrepôt dans les années 40, où les meubles vintage matches de l'art et la photographie. Les hôtes locaux de l'exposition, vendredi dernier, la beauté africaine, un autre regard, un autre monde, dans lequel le photographe Mark Cenamor décrit son expérience au Malawi et à Madagascar, avec quelques images prises par Isabel Caamaño."Les photos sont à partir de 2008 et 2009. Nous étions au Malawi pour faire un documentaire avec le Live ONG Afrique, la vie d'un volontaire Corogne qui y travaillent », explique Cenamor. A Madagascar, nous étions sur un voyage d'agrément, mais avec l'intention de prendre des photos pour une exposition. Les premières images sont beaucoup plus sévères que celles de Madagascar, qui sont principalement des paysages. "Le Malawi a été la première expérience en Afrique sub-saharienne pour les deux artistes, et la situation ils se trouvaient a été très différente de la vue que nous avons en Europe dans ces pays: «Il ya ces images de l'Ethiopie il ya vingt ans avec des enfants au ventre gonflé par la faim. Il est plus difficile maintenant, parce que vous rencontrez des gens comme vous et moi, mais tout le monde a le paludisme ou le sida. Et il est difficile de croire qu'il est probable que la moitié des personnes que nous avons rencontrés là-bas, est maintenant mort. "Des images enregistrées y Cenamor Caamaño, choisissez l'une de son contenu symbolique. «Nous avons été coopérant avec un hangar où il y avait un immense tableau d'un Christ sur la croix, et nous voilà apprendre aux gens à utiliser des préservatifs», se souvient le photographe. Et à l'extérieur a été un groupe d'une vingtaine d'enfants qui jouent, inconscients du problème de ses parents et sa propre maladie. "La deuxième partie de la beauté de l'Afrique, centrée sur l'île de Madagascar, a un ton amical: «C'est une autre chose. Reste le tiers monde, mais ils ont un autre niveau. Par exemple, au Malawi seulement deux routes, tandis qu'à Madagascar, presque tout est ouvert. "Ce bloc se compose essentiellement d'aménagement paysager et des motifs de la tradition locale. Cenamor a été particulièrement impressionné par l'appel de la jungle train, qui se déroule intérieur des terres vers la côte, et dans laquelle les indigènes transporter tous types de biens, vivant ou mort, et un cimetière d'une grande importance pour le folklore local. "Nous sommes allés à une île qui est censé être enterré le pirate William Kidd. Selon la légende, qui était si sanguinaire qu'il fut enterré debout, il ne pouvait pas se reposer après la mort, et dit aussi son trésor encore enfoui à Madagascar. La plus grande exposition de photo est l'entrée du cimetière, qui montre un bateau amarré. "
Andry Rajoelina durcit sa position
MADAGASCAR. Le festival de Santabary a été une occasion pour Andry Rajoelina de s'exprimer sur la situation politique actuelle, notamment sur la mise en oeuvre de la feuille de route, objet de la tenue du sommet de Gaborone. Pour lui, que ce sommet aboutisse ou non à la signature, le processus se poursuivra.
Le président de la Transition prévient les éventuelles modifications du déroulement du sommet de Gaborone. Selon lui, le sommet de Gaborone ne devrait pas être un obstacle à la mise en oeuvre de la feuille de route. «Le sommet de Gaborone devrait être la suite logique du paraphe de la feuille de route et devrait aboutir à sa signature définitive. Que cela ne soit pas changé. Nous estimons que ce sommet ne doit plus servir à des négociations. L'article 23 de la feuille de route qui stipule qu' «Aucun acteur politique malgache, partie prenante ou non à la feuille de route ne peut ni ne doit s'arroger un droit de véto à l'exécution de cette feuille de route durant la période de la transition» confirme l'impossibilité de cette éventualité», a-t-il précisé, samedi dernier, dans son discours.
«Personne ne peut nous forcer»
Dans ce sens, Andry Rajoelina a martelé qu'aucun pays ne pourra obliger Madagascar dans tel ou tel sens, notamment sur les conditions à pour qu'un chef de l'Etat puisse se porter candidat. «Plusieurs Etats en Afrique ont organisé des élections. Leurs constitutions respectives ne stipulent pas que le chef de l'Etat devrait démissionner de son poste soixante jours avant la date du scrutin. Alors pourquoi obligent-ils Madagascar à le respecter ?», a-t-il fait savoir.
Lui d'ajouter qu'aucune négociation ne devrait plus se faire au cours de ce sommet du 5 au 8 juin. «Nous avons fait beaucoup de concessions. Nous avons accepté de mettre en oeuvre la feuille de route qui a été proposée par les médiateurs de la Sadc pour que nous puissions sortir de la crise par l'organisation d'élections crédibles. Si certains ne veulent pas participer au processus, qu'ils restent en dehors de la Transition , la nation n'a pas besoin d'eux. Si Gaborone n'aboutit pas, nous poursuivrons notre chemin. Plusieurs Etats nous soutiennent et constatent l'évolution de la situation qui prévaut dans notre pays en dépit du fait que nous soyons sanctionnés», a-t-il insisté avec un ton ferme.
La position actuelle des dirigeants de la Transition semblent avoir changé. Si, au retour des différents voyages en Afrique, Andry Rajoelina et ses partisans ont déclaré le succès du lobbying qu'ils ont mené dans plusieurs Etats d'Afrique, actuellement, le président de la Transition semble émettre un doute à ce sujet. En effet, les chefs d'Etat des pays d'Afrique auxquels la délégation du président de la Transition a rendu visite ont pris acte de ce travail de lobbying sans pour autant promettre quoi que ce soit. Par ailleurs, le camp adverse pourrait mener la même action pour soutenir sa position.
Dans l'hypothèse où les recommandations de Gaborone vont à l'encontre de la position de Haute autorité de la Transition et si le régime actuel persiste à poursuivre le processus, la situation de la Grande île pourrait encore stagner.
«Personne ne peut nous forcer»
Dans ce sens, Andry Rajoelina a martelé qu'aucun pays ne pourra obliger Madagascar dans tel ou tel sens, notamment sur les conditions à pour qu'un chef de l'Etat puisse se porter candidat. «Plusieurs Etats en Afrique ont organisé des élections. Leurs constitutions respectives ne stipulent pas que le chef de l'Etat devrait démissionner de son poste soixante jours avant la date du scrutin. Alors pourquoi obligent-ils Madagascar à le respecter ?», a-t-il fait savoir.
Lui d'ajouter qu'aucune négociation ne devrait plus se faire au cours de ce sommet du 5 au 8 juin. «Nous avons fait beaucoup de concessions. Nous avons accepté de mettre en oeuvre la feuille de route qui a été proposée par les médiateurs de la Sadc pour que nous puissions sortir de la crise par l'organisation d'élections crédibles. Si certains ne veulent pas participer au processus, qu'ils restent en dehors de la Transition , la nation n'a pas besoin d'eux. Si Gaborone n'aboutit pas, nous poursuivrons notre chemin. Plusieurs Etats nous soutiennent et constatent l'évolution de la situation qui prévaut dans notre pays en dépit du fait que nous soyons sanctionnés», a-t-il insisté avec un ton ferme.
La position actuelle des dirigeants de la Transition semblent avoir changé. Si, au retour des différents voyages en Afrique, Andry Rajoelina et ses partisans ont déclaré le succès du lobbying qu'ils ont mené dans plusieurs Etats d'Afrique, actuellement, le président de la Transition semble émettre un doute à ce sujet. En effet, les chefs d'Etat des pays d'Afrique auxquels la délégation du président de la Transition a rendu visite ont pris acte de ce travail de lobbying sans pour autant promettre quoi que ce soit. Par ailleurs, le camp adverse pourrait mener la même action pour soutenir sa position.
Dans l'hypothèse où les recommandations de Gaborone vont à l'encontre de la position de Haute autorité de la Transition et si le régime actuel persiste à poursuivre le processus, la situation de la Grande île pourrait encore stagner.
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