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vendredi 21 janvier 2011

Fanonganam-panjakana: 26 janoary-17 marsa 2009

Namoaka tsiambaratelo maro koa
 ny Jeneraly Noel Rakotonandrasana

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Mbola mitohy ilay resaka ampamoaka momba ny fanonganam-panjakana tamin’ny 2009. Ireo miaramila nahazoan’ny fitondrana FAT seza, kanefa efa nogadraina, ireto tsy an-kiato mamoaka ny tsiambaratelo ireto. Nanao ampamoaka koa ny Jenerely Noel Rakotonandrasana. Ny momba an’ireny raharaha fandrobana sy fandorana niseho tamin’ny 26 janoary 2009 ireny  no navoakany. Tsy nandehandeha tamin’izao fotsiny ireny fa hay tena nisy mpanomana sy fanomanana henjana, raha ity navoakan’ny Minisitry ny FAT teo aloha ity. Mpanao politika maromaro sy Jeneraly samy manana ny toerany maha izy azy ao amin’ity fitondrana amin’izao fotoana ity no nikononkonona ilay izy niaraka tamina mpitarika “gros bras”. Dia nanakarama “gros bras” izay misy gropy 20 sy 30 avy eny amin’ny faritra iva ry zareo. Raha ity ampamoaka ity dia nokaramaina 1 tapitrisa ariary izy ireo hanao ireny fandrobana sy fandoran-javatra samihafa teto an-drenivohitra ireny.
   Fa ankoatra an’ity dia mbola mitohy ihany ny ampamoaka ataon’ilay mahery fon’ny fitondrana FAT, momba ny fandehan-javatra rehetra nitranga teto. Ny Litena Kolonely Charles io. Navoakany indray ny anaran’ireo olona mpamatsy vola sy ny vola nomen’ireto farany avy. Amina tapitrisa maromaro sy amina miliara avokoa. Misy mpandraharaha ny mpamatsy vola ary mazava ho azy ireo mpanao politika izay manana seza ao amin’ny fitondrana avokoa amin’izao fotoana. 
   Namoaka ny zava-nitranga momba ny raharaha 7 febroary 2009 izay nahafatesana olona maro  koa ny “komanda Charles” tamin’izany fotoana. Jeneraly sy miaramila vitsivitsy niaraka tamina mpanao politika maromaro koa no nanomana an’iny hetsika fiakarana teny Ambohitsorohitra iny,ny alin’ny 6 febroary raha ity tsiambaratelo ity.  Raha ilay  ampamoaka ihany dia neken’ny rehetra ny hoe tsy misy vokany ny fanonganam-pankajana raha tsy misy ra mandriaka. Ireo aloha no hita tena nisongadina tamin’ity ampamoaka ity mahakasika ny nanonganana an-dRavalomanana tamin’ny 2009 fa saika voatanisa ao daholo ireo zava-nitranga tamin’izany fotoana.
Tamin’ny 14 janoary 2011 teo indray no nanoratan’izy roalahy ireto tsiambaratelo goavana ireto. Tany am-pigadrana eny amin’ny fonjan’ny Tsiafahy mazava ho azy. Raha ny vaovao dia nalefa tany amin’Ing. Joaquim Chissano, Filoha mpitarika ny fanelanelanana avy amin’ny GIC izy ity.

Rallye - Championnat de Madagascar

7 manches au programme
L’année 2011 s’annonce particulièrement riche en compétitions mécaniques, du moins autant que la saison 2010. Ainsi, les différentes compétitions commencent à se profiler pour le Championnat de Madagascar des Rallyes (MRC) 2011. Mais ce qui marquera cette année est sans aucun doute l’intégration du Rallye International de Madagascar à une manche des Championnats d’Afrique. Effectivement, ce rendez-vous figure désormais sur le calendrier de la FIA Afrique. Une manche qui sera concourue, selon le calendrier préliminaire de la FSAM, les 25, 26 et 27 novembre 2011. En effet, elle sera la manche de clôture du Championnat continental et également le dernier coup d’essai de la manche du Championnat national.
Rallye7
7 manches
Pour cette saison 2011, la Fédération compte aligner 7 manches dont le galop d’essai débutera à la mi-mai pour enchaîner avec le rallye ASACM au mois de juin. Deux autres manches, en juillet et août, suivront, ainsi que le Rallye FMMSAM en septembre et celui de l’ASA Tana en octobre. Un programme très chargé en somme. Selon les bruits qui courent, le Rallye International, organisé par la Fédération, pourrait se courir à Toamasina. Ceci dit, les pilotes ont été satisfaits et étonnés de la qualité et de la technicité des pistes, lors du rallye des Litchis 2010. Ayant fait une brève apparition lors du Rallye Sicam-Orange organisé par le club ASA Tana, le pilote Laza Randriamifidimanana fera un retour en force pour une saison complète avec sa Mitsubishi Evo9. Quant à Mathieu Andrianjafy, il paradera avec la même voiture que Laza. La tâche de Jean-Yves Ranarivelo dit Joda, champion en titre, s’annonce ardue pour défendre son titre.


Conjuguer profit et développement local

Depuis près de 40 ans, le Groupe Unima est un pionnier de la crevette à Madagascar. La société  a mis au point des éco-modèles de pêche et d’élevage, synthèse des meilleures pratiques mondiales pour le respect de l’environnement. Premier exportateur, Unima  a commercialisé, en 2009, 4000 tonnes de crevettes destinées aux consommateurs les plus exigeants. Avec 4000 employés, Unima est le plus gros employeur de Madagascar. Les activités du groupe sont la crevetticulture (Aqualma « aquaculture de la Mahajamba »), la pêche de crevettes, la culture de noix de cajou (Verama), et les services informatiques.
Développement local
unimamaL'engagement de l’entreprise dans la lutte contre la pauvreté est vécu comme un élément essentiel pour atteindre un haut niveau de performance et de pérennité. Aqualma offre d'importants avantages à ses employés, intègre la communauté locale dans ses activités, établit des partenariats avec elle et avec des ONGs locales et internationales. 1% de ses revenus est investi dans des programmes de développement auxquels la communauté apporte également sa participation financière. Assurer la durabilité de son engagement dans le développement reste néanmoins un défi.
Unima a créé le premier projet de crevetticulture à Madagascar. En France, Madagascar est le deuxième fournisseur en volume et le premier en valeur. Suite aux ravages de plusieurs virus en Asie du Sud-Est, le niveau
de production de la « tigrée noire » a chuté de plus de 75% au niveau mondial depuis le début des années 1980. Mais la maîtrise de la domestication des géniteurs a permis de continuer à produire cette espèce avec succès.
Produit de qualité
La concurrence vient aujourd'hui  p r i n c i p a l e me n t  d ' A s i e  et d'Amérique du Sud, où se pratiquent des élevages intensifs de crevettes  “white” (vanamei) dont l'afflux sur le marché provoque une baisse générale des prix.  Pour résister aux géants aquacoles d'Amérique latine et d'Asie du Sud-Est, la filière crevettière malgache, qui génère un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros par an, a choisi de parier sur la qualité. Unima  mise sur les produits de haut de gamme. A part cela, l'objectif d'Aqualma est de développer une entreprise malgache de qualité qui promeut le développement communautaire. Cette vision est profondément enracinée dans la philosophie de l'entreprise.

Vohipeno - Priorité à la justice populaire

A l’évidence, la population de Vohipeno n’a plus confiance en la Justice officielle. Dans la commune de Maranivo en particulier, un redoutable « dahalo » muni d’amulettes a été tué par le fokonolona. Ce comportement procède d’un fait précédent : un bandit renommé avait été remis à la Justice par les habitants. Celui-ci a obtenu sa libération en payant une somme de 1.500.000 Ar, d’après les témoins. Il s’en est alors pris au fokonolona en les menaçant de vengeance. La crainte des représailles de ce genre justifierait donc la mise à mort sans rémission de tout « dahalo » capturé par les gens. Cette décision a eu pour effet, en tout cas, d’éloigner de la zone tout voleur de zébu ou bandit de grand chemin et la sécurité devient plus évidente, ont assuré les habitants.

Taolagnaro - Un taux de prévalence de 0,5% du sida

Quatre personnes sur 800 sont séropositives c'est-à-dire porteuses du virus VIH du sida dans le district de Taolagnaro. Ce pourcentage ressort d’une enquête menée au cours des trois derniers mois de l’année 2010. Lors de cette enquête, 20 filles ont été déclarées porteuses du virus VIH ; des filles qui pratiquent toutes à divers degrés la prostitution. Elles ont entre 18 et 23 ans. Ce pourcentage préoccupe les ONG qui luttent contre la propagation de cette maladie et qui sensibilisent la population et notamment les femmes à se prémunir contre cette maladie, d’autant que Taolagnaro est une ville touristique. Mais l’enquête a également concerné d’autres maladies sexuellement transmissibles (MST) comme la syphilis. Les médecins ont ainsi dressé le bilan suivant : parmi les 800 personnes enquêtées, 82 sont confirmées comme porteuses de la syphilis et 707 sont séronégatifs, tandis que trois autres attendent les résultats de l’analyse. Concernant le VIH-sida, 7 sont non prouvées, 4 sont porteuses du virus de la maladie et 797 sont séronégatives. Ce chiffre est encore moindre par rapport aux autres régions d’Afrique ; toutefois, la lutte contre ces maladies sexuellement transmissible doit être renforcée dans ce district.

Roger Ralison « L'unanimité dans la Transition est irréaliste »

Politique - Roger Ralison
Le vice-président de la commission Economie et finances du CST est optimiste.
• Organiser les élections dans les meilleures conditions est-il faisable en l'état actuel des choses ?
- L'émissaire de la Communauté de développement d'Afrique Australe (SADC), Leonardo Simao, a considéré comme meilleure condition la gestion commune de la Transition à travers l'adhésion de toutes les forces politiques dans les Institutions transitoires. Les structures déjà existantes, à savoir le Congrès de la Transition, le Conseil supérieur de la Transition, ainsi que la Commission électorale nationale indépendante devraient donc être élargies. Et un gouvernement ouvert à tous sera aussi mis en place. Le médiateur a recommandé la réconciliation au sein de chaque entité pour faciliter la concrétisation de ce plan. Mais nous lui avons expliqué que les formations membres du Regroupement des partis et associations politiques (HPM) ont leur indépendance avant même de rejoindre la mouvance Zafy, c'est encore le cas actuellement.

• L'inclusivité n'est-elle pas utopique dans cette optique ? 
- Non. Je n'hésite pas à affirmer que l'inclusivité sera atteinte dans cette démarche. Les idées de chacun sont presque identiques. C'est seulement la clé de répartition de postes qui divise. Même avec le partage actuel, certains partis importants se sentent lésés au vu du nombre de places attribuées à des formations récemment créées. De toute façon, chercher l'unanimité n'est pas réaliste dans ce processus. Un maximum d'inclusivité
suffit.

• L'éventuelle absence des Trois mouvances au sein de ces Institutions transitoires n'aura-t-elle pas d'impact ? 
- Les Nations unies, par le biais de leur émissaire Peter Metcalf, ont déjà manifesté leur volonté d'appuyer techniquement l'organisation des élections. Je ne pense pas à l'échec du processus. Même le professeur Ange Andrianarisoa, dirigeant de la mouvance Ratsiraka, a modéré son discours. En fait, tout le monde continue à faire de la surenchère. Mais c'est tout à fait normal. 

Affaire Coup d'État Ravalomanana interpelle

L’ancien président voit dans la déclaration du colonel Andrianasoavina un aveu.

 Marc Ravalomanana porte plainte et accule la justice. La Garde des Sceaux a assuré la légalité de son action.
Marc Ravalomanana poursuit son offensive juridique. La plainte de l’ancien président, déposée contre les auteurs du « coup d’État » en mars 2009, s’apparente à un défi lancé contre la justice malgache. Hier, Marc Ravalomanana a déclaré que « sa plainte contre les auteurs du coup d’État de 2009 était une occasion pour la justice malgache de prouver, et de montrer son indépendance ». En se basant sur la déclaration du colonel Charles Andrianasoavina, qu’il prend pour « une preuve irréfutable car étant un aveu », l’ancien président espère, ni plus ni moins, obtenir gain de cause dans une bataille qui pourrait bien s’apparenter à un bras de fer.
La justice est actuellement devant le fait. La ministre de la justice, Christine Razanamahasoa, a d’ailleurs mentionné la légalité du processus de dépôt de la plainte auprès du Doyen des juges d’instructions. La déclaration de la ministre, prévue aujourd’hui, est très attendue, car elle permettra non seulement d'avoir un avant-goût de ce que sera cette affaire, mais aussi de voir la première réaction officielle de l’État transitoire. Selon toute logique, les personnalités politiques concernées par la plainte et les aveux du colonel Andrianasoavina seront convoquées. Ces dernières sont, presque, toutes casées dans les institutions de la Transition. Du moins, actuellement. Les noms du président du Conseil supérieur de la transition (CST), le Général Dolin Rasolosoa, le Chef d’état major général de l’armée malgache, en la personne du général André Ndriarijaona, ainsi que les partisans du « changement » de la première heure, tel Alain Ramaroson, devenu entre-temps président de la commission défense du CST, sont les plus cités.
Nouvelle donne
Mais cette « affaire » a une toute autre incidence sur la situation politique du pays. Marc Ravalomanana joue une autre carte que les discussions malgacho-malgaches, à en croire certaines affirmations lors de son allocution d’hier. « Je fais campagne actuellement auprès de la communauté internationale pour considérer ce nouveau fait dans la résolution de la crise. Il appartient aux médiateurs de prendre en compte cette nouvelle donne », a-t-il lancé à l’endroit de la communauté internationale, de la Communauté de développement de l'Afrique australe particulièrement.
À l’heure où cette communauté de l’Afrique australe sollicite « des efforts supplémentaires » de la part de chaque camp, spécialement envers les chefs de mouvance, Ravalomanana affiche une toute autre détermination, aux antipodes du processus actuel, en maintenant le flou sur la poursuite de sa participation dans celui-ci.

RN2 : l'acte de terrorisme avisé par tract

Préparer vous nous allons attaquer des villages longeant la RN2. C'est en quelques sortes la teneur d'un tract affiché dans les bâtiments administratifs, publics et des particuliers. La commune rurale de Fanandrahana est particulièrement avisée de la tentative. Mais en tout, le tract a stipulé viser les villages de Tanandava et aussi d'Ambodibonara. Selon toujours le tract, ils sont une bande 24 dont la première moitié vont attaquer Fanandrahana en même temps Ambodibonara. Ces deux lieux ont d'ailleurs constitué les deux pôles de la commune à une cinquantaine de kilomètres de la capitale régionale Atsinanana vers la capitale nationale. Le centre de santé de base, les établissements scolaires et les magasins sont les cibles citées dans le tract. Ainsi, la population est terrorisée face à cette insécurité grandissante dans le terroir. " Aucun camp des forces de l'ordre n'est dans les parages et que la population n'a que des armes blanches de formes empiriques en cas d'attaque de terroriste " a expliqué le maire de Fanandrahana Tody Samson Gervais. Rappelons quelques années auparavant, un trafic d'organe est enregistré dans cette localité. Ceci pour dire que des malfaiteurs rodent dans la commune de Fanandrahana et que leurs actes sont imprévisibles et incompréhensibles. En effet, des vols de matériels électroniques et des cambriolages, à l'image des grandes villes sont constaté dans cette commune rurale de 5000 habitants. L'incendie criminel au CEG de Tananambo a frémi les ruraux. Alors que les villageois ont lutté contre le feu, des inconnus ont lancé des projectiles contre eux. Trois salles de classes faites avec des matériaux locaux et tous les immobiliers sont réduits en cendre. 200 élèves suivent leurs cours en plein air. Et c'est ce qu'attendait peut être les bandits. Ainsi, ces (premiers) actes ont effrayé tous les villages. D'un côté, le départ de feu pourrait enflammer les autres maisons d'habitation aux alentours. De l'autre, des ennemis se sont cachés dans les buissons pour anéantir l'effort des villageois. Mais la terreur dans le village est que le tract est affiché au moment même de l'incendie. Le moins que l'on puisse dire une bande de terroristes est sur la RN2. Elles peuvent faire mal non seulement aux villages mais aussi aux voyageurs empruntant cette route nationale.

Ambila-Lemaitso: Entre isolement et soulèvement de la population

La situation est plus que lamentable. Au point qu'on ne peut qu'éprouver un profond sentiment de pitié, de compassion envers surtout les populations qui en constituent les victimes. C'était, en fait, comme si Ambila-Lemaitso, une de ces intéressantes destinations touristiques sises relativement à proximité de la capitale, se renfermait sur lui-même. Contre son gré, selon une première constatation. D'aucuns ne veulent en effet, à moins d'a voir perdu la raison, accumuler les problèmes.
Mais d'après une autre constatation, plus objective cette fois, l'on se demande pourquoi et pour quoi, au vu notamment de la gravité du problème en question, les habitants de cet important site touristique de la côte est du pays sont restés muets depuis tous ces temps. Car selon notre informateur qui s'était rendu sur place lors des fêtes de fin d'année, voilà déjà deux mois qu'Ambila fait face à ce problème de dégradation avancée du seul bac le desservant. Nul besoin de préciser que celui-ci est actuellement hors service. De quoi à faire paniquer la population locale. Une population qui semble avoir beaucoup de mal à extérioriser ses peines. Aurait-on peur de l'administration ? Pas aussi sûr.
En effet, comme ce problème détruit leur gagne-pain, les habitants d'Ambila s'acharnent maintenant contre leur maire. Le maire qui fait, en ce moment, l'objet de sévères critiques concernant en particulier sa gestion du budget communal. "Où sont passées toutes les sommes récoltées par la commune du temps que le bac fonctionnait encore", se demande-t-on. Sûrement, une partie de ces sommes peut, selon les convictions des concernés, assurer l'entretien du bac. Sinon, pourquoi ne pas construire de nouvelles infrastructures pour desservir au mieux cette localité de l'île ? Reste alors la bienveillance de l'Etat de s'engager dans de tels projets…