Le comité de soutien pour le « non » est formé. Samedi dernier à Andravoahangy ambony, le parti Otrikafo a annoncé officiellement qu’il formera un nouveau comité de soutien. Pour appuyer sa position, Andrianjaka Rajaonah a révélé : « 90% environ des dispositions de la Constitution sont des stipulations initiées par les précédents chefs de l’Etat. Nous pouvons affirmer que ce projet ne répond pas aux attentes des manifestants qui étaient descendus sur la place du 13 mai ».
Pour manifester donc sa contestation de l’adoption du projet de Constitution, le parti Otrikafo utilisera dès ce jour le droit du comité de soutien pour le « non » à la radio nationale dont la durée est fixée à cinq minutes. Rappelons que le 6 octobre dernier, cette formation politique a manifesté sa phobie de la participation des médiateurs étrangers à la recherche de solution de crise dans la Grande île. « Il appartient uniquement aux Malgaches de trouver une solution à leur crise politique. Madagascar est un pays souverain et ne doit pas dépendre des étrangers pour se développer », a avancé le numéro un de l’Otrikafo à cette occasion.
Pour manifester donc sa contestation de l’adoption du projet de Constitution, le parti Otrikafo utilisera dès ce jour le droit du comité de soutien pour le « non » à la radio nationale dont la durée est fixée à cinq minutes. Rappelons que le 6 octobre dernier, cette formation politique a manifesté sa phobie de la participation des médiateurs étrangers à la recherche de solution de crise dans la Grande île. « Il appartient uniquement aux Malgaches de trouver une solution à leur crise politique. Madagascar est un pays souverain et ne doit pas dépendre des étrangers pour se développer », a avancé le numéro un de l’Otrikafo à cette occasion.
En général, cette formation politique soutient l’idée selon laquelle Madagascar est capable de développer son économie et sa politique sans recourir à l’appui financier de la Banque mondiale ou du Fonds monétaire international. La bonne gestion et l’exploitation des richesses suffisent à développer l’économie du pays.
Manohisoa
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