Les enfants pauvres peuvent être négligé aux profit d’enfants plus aisés s’il existe un service payant. Les soins médicaux dont il bénéficient sont parfois moindres. L’égalité entre Malgaches, tant prônée par les régimes qui se sont succédé depuis 50 ans d’indépendance, n’est en réalité qu’un leurre.
En effet, le fossé qui existe entre les « castes » se creuse de plus en plus. Les enfants pauvres reçoivent le minimum, et ne peuvent être du même niveau que leurs semblables (de catégorie supérieure) du fait de leur statut social. Cet état de fait pourrait être changé, surtout grâce aux diverses associations déjà existantes à Madagascar. Les enfants pauvres peuvent recevoir des livres, des vêtements, et autres. Il existe même sur des sites connus comme Facebook, des groupes associations sérieuses créées dans le but d’aider les enfants de Madagascar depuis l’extérieur.
Soulignons, une fois de plus, que les centres « Akamasoa » ne peuvent accueillir tous les pauvres de l’île…
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