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mercredi 27 janvier 2010
mardi 26 janvier 2010
lundi 25 janvier 2010
communication TIMSFV à info-madagascar
Ota sy Fady Le Glas sonne pour nous rappeler les exactions, les meurtres des innocents et la destruction des biens privés et publics, du patrimoine national, conduit par Andry Rajoelina sans qualité. 26 janvier 2010, cela fait 1 an déjà que ces nuls de chez nuls dirigent le pays des malagasy avec l’aide des Français .Nous devons nous rappeler de ces moments terribles pour qu'ils ne se reproduisent plus. Les générations futures devront avoir un devoir de mémoire que les transgressions de ceux qui suppriment les vies humaines et les prédations commerciales voulues à travers les destructions systématiques des principes érigés par le peuple malagasy à travers la démocratie.Le peuple a été submergé de messages, martelé en permanence sur des thèmes mensongères et l’inversion des valeurs humaines reconnues universellement. Ota sy Fady, péchés spirituels contre la vie et interdit selon l’enseignement des anciens. Mots forts pour signifier que nous ne devons plus accepter au fond de nous-même ces états pathologiques de mensonges et de destructions de nos frères et sœurs humains?Que les générations futures puissent ne plus être menées par ces schémas étrangers à notre culture native.Ota sy Fady, ces catastrophes nous ruinent volontairement et emmenent le pays vers les profondeurs insondables d’une mort décidée par autrui.Ota sy Fady, c’est pour cela que ce jour du 26 janvier 2010 doit être dans nos mémoires de malagasy comme tous les actes criminels perpétrés à l’encontre du peuple dans la période coloniale.Ota sy Fady, que la réconciliation envisage par les accords de Maputo et Addis Abeba puisse se réaliser pour que le deuil de ce jour ne soit pas vain.Malagasy mes frères et sœurs souvenons nous et avançons pour construire, pour que l’étape Légaliste, Démocratique, Universaliste, Humaniste valorisant la valeur et la fierté Malagasy, instituée par le Président Marc RAVALOMANANA puisse se construire et montrer que nous pouvons dépasser les événements et réussir pour notre Madagascar.GTT International- Collectif de la Diaspora MalagasyManifestons par plusieurs moyens- Imprimer et coller ce logo sur toute nos ordinateurs, nos blogs, nos Websites- S'habiller en blanc- Se remémorer du Génocide de plusieurs centaines de personnes carbonisésNE NOUS LAISSONS PAS FAIRE: AZA DORANAO NY FIRENEKO
lu pour vous
Les thèses et les foutaises
21 janvier 2010, par Ndimby A.
En zappant sur ma radio il y a quelques jours, je suis tombé sur une interview du général Ramakavelo, partisan de Andry Rajoelina, et qui s’offusquait des manifestations depuis quelques jours dans le quartier d’Anosy. Il les a qualifiées de provocations, car ce quartier était une « zone rouge » du fait de la présence du Palais du Sénat et des ministères.Cette thèse va trop vite en besogne. Les politiciens qui vitupèrent aujourd’hui contre les mouvements de rue organisés par l’opposition, sont les mêmes qui lançaient sans vergogne la foule à l’assaut des Ministères et des Palais d’Etat il y a un an. Le général cité ci-dessus s’est même livré à une petite démonstration oiseuse, pour tenter de dire qu’en cas de prise de responsabilités par les forces de l’ordre dans le futur, il ne faudra pas accuser celles-ci de répression. « Quand le mouton persiste à s’aventurer dans la rivière, il ne faut pas qu’il accuse le crocodile qui s’y trouve de méchanceté » a-t-il dit en substance, tout en appelant les forces de l’ordre à donner une suite à leurs avertissements.Tiens donc. N’est ce pas ce même général qui faisait le tour des médias après les événements du 7 février 2009, pour pérorer ses thèses sur l’action de la garde du Palais d’Ambohitsirohitra ; expliquer ses théories sur le maintien de l’ordre, le processus de sommation, et le scandale qu’était selon lui le fait d’avoir fait tirer sur une foule désarmée et « pacifique ». En d’autres termes, quand les forces de l’ordre agissent face à une foule conditionnée pour prendre d’assaut un palais d’Etat, pour lui c’était de la barbarie. Mais si les forces de l’ordre prennent action face à une foule réunie à Anosy, ce serait de la prise de responsabilité. Ce général ferait mieux d’abandonner la politique et ses thèses foireuses, et retourner à l’écriture de ses poèmes.C’est ce genre de pirouette qui discrédite la pratique de la politique et les politiciens à Madagascar. Comment peut-on oser affirmer avec autant d’aplomb que ce qui était noir hier, est aujourd’hui blanc ? Cette interview du général Ramakavelo fait exactement penser aux déclarations des responsables actuels de la Justice et de la sécurité publique. Ceux-ci ne se rendent pas compte qu’ils frisent le ridicule en agitant contre la mouvance Madagasikara les menaces de sanction pour trouble de l’ordre public, atteinte à la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs, outrage envers le chef de l’Etat, « complicité dans une tentative de mutinerie » (accusation des journalistes de Radio-Fahazavana dans l’affaire du RAS), et autres douceurs du Code Pénal. Car si on relisait les faits de Janvier à Mars 2009 à la lumière de ces qualificatifs, certains gagneraient des vacances de longue durée sur les plages de Nosy Lava [1]. Alors, certains (et surtout certaine) ministres devraient y réfléchir à deux fois avant de jouer les pères fouettards et la mère-la-vertu de la loi et du Droit.ll n’y a pas que les Visages Pâles dans les albums de Lucky Luke qui ont la langue fourchue. Et finalement, tous les louvoiements de parole pour justifier aujourd’hui ce qui était reproché à Ravalomanana il y a un an, cadrent parfaitement avec les promesses non tenues de la Haute autorité de transition (HAT). On pourrait en présenter ici une liste longue comme un jour sans pain. La Place de la Démocratie, à usage unique (comme les tampax), et réservée à Rajoelina et ses griots, en est la meilleure illustration. De tous les engagements pris pour une véritable démocratie, une bonne gouvernance réelle, la fin de la dictature et l’essor économique, force est de constater qu’aucun n’a été tenu par la HAT. Winston Churchill, à qui l’on demandait ce qui était selon lui la qualité d’un politicien, avait répondu ainsi : « c’est la capacité de prédire ce qui va arriver demain, le mois prochain, et l’année prochaine – et, après, d’expliquer pourquoi cela ne s’est pas passé ». De ce point de vue, Andry Rajoelina est donc un excellent politicien.Pour les hommes politiques malgaches, la démocratie est donc utilisée comme prétexte, la République comme spectacle d’illusion, la Constitution comme fable, et le peuple comme marchepied. Tels sont donc les concepts à géométrie variable que nos politiciens nous cuisinent, tout en les accommodant à leur sauce, qui souvent, se révèle indigeste. Dernier épisode du cirque : les forces pro-Rajoelina ont créé un nouveau rassemblement politique, l’Union des démocrates et des républicains (UDR). Voir tous ces auteurs invétérés de coup d’Etat s’auto-proclamer comme chantres de la démocratie et de l’esprit républicain, n’est qu’une cocasserie sans nom. À moins que ce ne soient les chancres mous dans le domaine.Car la démocratie ne se décrète pas par les mots, mais par les actes. La République démocratique de Ratsiraka, la République démocratique allemande de Erich Honecker ou la République populaire et démocratique de Kim Il Sung, n’ont de démocratiques que le nom. Etre démocrate c’est respecter la Constitution en vigueur ; accorder la liberté de parole et d’action à l’opposition ; ne pas museler la presse ; et faire en sorte que les élections soient fiables et crédibles, car équitables et transparentes. Quand on soutient et cautionne un putsch, on n’a pas l’outrecuidance de se qualifier de démocrate et de républicain. Point barre, comme dirait mon ami Basile Ramahefarisoa.Aussi, placer en Andry Rajoelina et en la clique qui l’entoure de quelconques espoirs de renouveau de la pratique démocratique, serait pire qu’un saut dans le vide. En un an, on a eu plus qu’il ne fallait l’occasion de voir ce qu’ils valaient dans le domaine. Actuellement, ils se gargarisent de redonner la voix au peuple à travers les élections législatives. Mais ils n’avaient qu’à ne pas la lui prendre, et avoir l’arrogance prétentieuse de parler en son nom sans mandat électoral. Car de toutes les thèses, la pire des foutaises est celle qui prétend que quelques milliers d’excités sur la Place du 13 mai représentent « la volonté du peuple malgache ». Cela est vrai pour 1991, 2002, 2009 et 20xx.Mais au classement des déclarations débiles (du latin debilus = faible), il y a deux autres thèses qui gagneraient un Oscar. Primo, celle qui affirme que dans la mesure où Marc Ravalomanana ne s’était pas illustré par ses qualités de démocrates, il n’y avait pas lieu de critiquer Andry Rajoelina et les membres de son pouvoir hâtif. Et secundo, en lien avec ce qui précède, celle qui affirme que ceux qui n’ont pas critiqué en son temps Marc Ravalomanana n’ont aucun droit de critiquer Andry Rajoelina. Diantre, il vaut mieux entendre cela que d’être sourd. Car cette révolution foireuse, dont on voit jour après jour les résultats calamiteux, a été faite en prenant comme prétexte ce qu’il fallait changer dans ce pays. Et au vu de tout ce qui non seulement n’a pas changé, mais de plus a empiré, on ne peut que se rendre à l’évidence : nous sommes en train de vivre la plus grande arnaque politique de tous les temps. En attendant que les législatives de Mars 2010 en rajoutent une couche.Et au milieu de ces thèses et foutaises, on se demande comment Jean Ping, qui arrive aujourd’hui, va arriver à faire la synthèse entre l’unilatéralisme des uns et la réticence des autres.
21 janvier 2010, par Ndimby A.
En zappant sur ma radio il y a quelques jours, je suis tombé sur une interview du général Ramakavelo, partisan de Andry Rajoelina, et qui s’offusquait des manifestations depuis quelques jours dans le quartier d’Anosy. Il les a qualifiées de provocations, car ce quartier était une « zone rouge » du fait de la présence du Palais du Sénat et des ministères.Cette thèse va trop vite en besogne. Les politiciens qui vitupèrent aujourd’hui contre les mouvements de rue organisés par l’opposition, sont les mêmes qui lançaient sans vergogne la foule à l’assaut des Ministères et des Palais d’Etat il y a un an. Le général cité ci-dessus s’est même livré à une petite démonstration oiseuse, pour tenter de dire qu’en cas de prise de responsabilités par les forces de l’ordre dans le futur, il ne faudra pas accuser celles-ci de répression. « Quand le mouton persiste à s’aventurer dans la rivière, il ne faut pas qu’il accuse le crocodile qui s’y trouve de méchanceté » a-t-il dit en substance, tout en appelant les forces de l’ordre à donner une suite à leurs avertissements.Tiens donc. N’est ce pas ce même général qui faisait le tour des médias après les événements du 7 février 2009, pour pérorer ses thèses sur l’action de la garde du Palais d’Ambohitsirohitra ; expliquer ses théories sur le maintien de l’ordre, le processus de sommation, et le scandale qu’était selon lui le fait d’avoir fait tirer sur une foule désarmée et « pacifique ». En d’autres termes, quand les forces de l’ordre agissent face à une foule conditionnée pour prendre d’assaut un palais d’Etat, pour lui c’était de la barbarie. Mais si les forces de l’ordre prennent action face à une foule réunie à Anosy, ce serait de la prise de responsabilité. Ce général ferait mieux d’abandonner la politique et ses thèses foireuses, et retourner à l’écriture de ses poèmes.C’est ce genre de pirouette qui discrédite la pratique de la politique et les politiciens à Madagascar. Comment peut-on oser affirmer avec autant d’aplomb que ce qui était noir hier, est aujourd’hui blanc ? Cette interview du général Ramakavelo fait exactement penser aux déclarations des responsables actuels de la Justice et de la sécurité publique. Ceux-ci ne se rendent pas compte qu’ils frisent le ridicule en agitant contre la mouvance Madagasikara les menaces de sanction pour trouble de l’ordre public, atteinte à la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs, outrage envers le chef de l’Etat, « complicité dans une tentative de mutinerie » (accusation des journalistes de Radio-Fahazavana dans l’affaire du RAS), et autres douceurs du Code Pénal. Car si on relisait les faits de Janvier à Mars 2009 à la lumière de ces qualificatifs, certains gagneraient des vacances de longue durée sur les plages de Nosy Lava [1]. Alors, certains (et surtout certaine) ministres devraient y réfléchir à deux fois avant de jouer les pères fouettards et la mère-la-vertu de la loi et du Droit.ll n’y a pas que les Visages Pâles dans les albums de Lucky Luke qui ont la langue fourchue. Et finalement, tous les louvoiements de parole pour justifier aujourd’hui ce qui était reproché à Ravalomanana il y a un an, cadrent parfaitement avec les promesses non tenues de la Haute autorité de transition (HAT). On pourrait en présenter ici une liste longue comme un jour sans pain. La Place de la Démocratie, à usage unique (comme les tampax), et réservée à Rajoelina et ses griots, en est la meilleure illustration. De tous les engagements pris pour une véritable démocratie, une bonne gouvernance réelle, la fin de la dictature et l’essor économique, force est de constater qu’aucun n’a été tenu par la HAT. Winston Churchill, à qui l’on demandait ce qui était selon lui la qualité d’un politicien, avait répondu ainsi : « c’est la capacité de prédire ce qui va arriver demain, le mois prochain, et l’année prochaine – et, après, d’expliquer pourquoi cela ne s’est pas passé ». De ce point de vue, Andry Rajoelina est donc un excellent politicien.Pour les hommes politiques malgaches, la démocratie est donc utilisée comme prétexte, la République comme spectacle d’illusion, la Constitution comme fable, et le peuple comme marchepied. Tels sont donc les concepts à géométrie variable que nos politiciens nous cuisinent, tout en les accommodant à leur sauce, qui souvent, se révèle indigeste. Dernier épisode du cirque : les forces pro-Rajoelina ont créé un nouveau rassemblement politique, l’Union des démocrates et des républicains (UDR). Voir tous ces auteurs invétérés de coup d’Etat s’auto-proclamer comme chantres de la démocratie et de l’esprit républicain, n’est qu’une cocasserie sans nom. À moins que ce ne soient les chancres mous dans le domaine.Car la démocratie ne se décrète pas par les mots, mais par les actes. La République démocratique de Ratsiraka, la République démocratique allemande de Erich Honecker ou la République populaire et démocratique de Kim Il Sung, n’ont de démocratiques que le nom. Etre démocrate c’est respecter la Constitution en vigueur ; accorder la liberté de parole et d’action à l’opposition ; ne pas museler la presse ; et faire en sorte que les élections soient fiables et crédibles, car équitables et transparentes. Quand on soutient et cautionne un putsch, on n’a pas l’outrecuidance de se qualifier de démocrate et de républicain. Point barre, comme dirait mon ami Basile Ramahefarisoa.Aussi, placer en Andry Rajoelina et en la clique qui l’entoure de quelconques espoirs de renouveau de la pratique démocratique, serait pire qu’un saut dans le vide. En un an, on a eu plus qu’il ne fallait l’occasion de voir ce qu’ils valaient dans le domaine. Actuellement, ils se gargarisent de redonner la voix au peuple à travers les élections législatives. Mais ils n’avaient qu’à ne pas la lui prendre, et avoir l’arrogance prétentieuse de parler en son nom sans mandat électoral. Car de toutes les thèses, la pire des foutaises est celle qui prétend que quelques milliers d’excités sur la Place du 13 mai représentent « la volonté du peuple malgache ». Cela est vrai pour 1991, 2002, 2009 et 20xx.Mais au classement des déclarations débiles (du latin debilus = faible), il y a deux autres thèses qui gagneraient un Oscar. Primo, celle qui affirme que dans la mesure où Marc Ravalomanana ne s’était pas illustré par ses qualités de démocrates, il n’y avait pas lieu de critiquer Andry Rajoelina et les membres de son pouvoir hâtif. Et secundo, en lien avec ce qui précède, celle qui affirme que ceux qui n’ont pas critiqué en son temps Marc Ravalomanana n’ont aucun droit de critiquer Andry Rajoelina. Diantre, il vaut mieux entendre cela que d’être sourd. Car cette révolution foireuse, dont on voit jour après jour les résultats calamiteux, a été faite en prenant comme prétexte ce qu’il fallait changer dans ce pays. Et au vu de tout ce qui non seulement n’a pas changé, mais de plus a empiré, on ne peut que se rendre à l’évidence : nous sommes en train de vivre la plus grande arnaque politique de tous les temps. En attendant que les législatives de Mars 2010 en rajoutent une couche.Et au milieu de ces thèses et foutaises, on se demande comment Jean Ping, qui arrive aujourd’hui, va arriver à faire la synthèse entre l’unilatéralisme des uns et la réticence des autres.
mardi 19 janvier 2010
lundi 18 janvier 2010
dimanche 17 janvier 2010
Madagascar : modification de la loi sur la Cour suprême par la HAT
Une loi organique relative à l’organisation, aux attributions, au fonctionnement et à la procédure applicable devant la Cour suprême malgache et les trois Cours la composant a été modifiée par la Haute Autorité de Transition (HAT) dirigée par Andry Rajoelina, a rapporté lundi la radio nationale malgache.
La modification faite dimanche par une ordonnance adoptée lors d’un conseil des ministres statue sur "la conformité des textes législatifs et des règlements autonomes aux dispositions de la présente ordonnance et aux principes généraux du droit".
Cet ordonnance signifie qu’on ne peut plus demander à la Cour suprême l’annulation "des actes de nomination et d’abrogation de nomination du Premier ministre et des membres du gouvernement, les actes concernant les rapports du gouvernement et du parlement, les actes relatifs à l’initiative gouvernementale en matière législative, les actes mettant en cause les rapports du gouvernement avec un organisme international ou une puissance étrangère".
Cette ordonnance a été adoptée trois semaines après le recours procédé par les trois mouvances, dirigées par les anciens présidents Marc Ravalomanana, Didier Ratsiraka et Albert Zafy, contre le décret de limogeage de Eugène Mangalaza pris le 18 décembre 2009 par leur principal adversaire politique Andry Rajoelina.
La décision du Conseil d’Etat, un des trois cours composant la Cour suprême malgache, sur ce litige entre le gouvernement de transition malgache et les trois mouvances, est prévue d’être annoncée lundi.
Rajoelina a nommé un militaire retraité, Camille Vital pour remplacer Mangalaza issue de la mouvance Ratsiraka, le 21 décembre dernier, quand il s’est dit convaincu que "la cohabitation entre les quatre mouvances est impossible".
Actuellement, la mouvance de Rajoelina est en préparation des élections législatives prévues pour les 20 mars prochain alors que les trois mouvances, qui ont uni leurs forces en un parti appelé " mouvance Madagascar", rejettent l’intention d’organiser ces élections.
Les médiateurs internationaux aussi rejettent l’organisation unilatérale des élections à Madagascar selon un communiqué rendu public à l’issue de leur réunion à Addis-Abeba, Ethiopie, la semaine dernière. (Xinhua)
La modification faite dimanche par une ordonnance adoptée lors d’un conseil des ministres statue sur "la conformité des textes législatifs et des règlements autonomes aux dispositions de la présente ordonnance et aux principes généraux du droit".
Cet ordonnance signifie qu’on ne peut plus demander à la Cour suprême l’annulation "des actes de nomination et d’abrogation de nomination du Premier ministre et des membres du gouvernement, les actes concernant les rapports du gouvernement et du parlement, les actes relatifs à l’initiative gouvernementale en matière législative, les actes mettant en cause les rapports du gouvernement avec un organisme international ou une puissance étrangère".
Cette ordonnance a été adoptée trois semaines après le recours procédé par les trois mouvances, dirigées par les anciens présidents Marc Ravalomanana, Didier Ratsiraka et Albert Zafy, contre le décret de limogeage de Eugène Mangalaza pris le 18 décembre 2009 par leur principal adversaire politique Andry Rajoelina.
La décision du Conseil d’Etat, un des trois cours composant la Cour suprême malgache, sur ce litige entre le gouvernement de transition malgache et les trois mouvances, est prévue d’être annoncée lundi.
Rajoelina a nommé un militaire retraité, Camille Vital pour remplacer Mangalaza issue de la mouvance Ratsiraka, le 21 décembre dernier, quand il s’est dit convaincu que "la cohabitation entre les quatre mouvances est impossible".
Actuellement, la mouvance de Rajoelina est en préparation des élections législatives prévues pour les 20 mars prochain alors que les trois mouvances, qui ont uni leurs forces en un parti appelé " mouvance Madagascar", rejettent l’intention d’organiser ces élections.
Les médiateurs internationaux aussi rejettent l’organisation unilatérale des élections à Madagascar selon un communiqué rendu public à l’issue de leur réunion à Addis-Abeba, Ethiopie, la semaine dernière. (Xinhua)
Élections, Confusion autour de Rajoelina
Des divergences apparaissent au sein des partisans de Andry Rajoelina, à l'approche des législatives.
Le camp Rajoelina à l’épreuve. Des partisans de Andry Rajoelina, « président de la Haute autorité de la transition » commencent à préparer le terrain électorale en se servant des législatives comme test grandeur nature afin de se situer avant les présidentielles. Mais une partie de leur camp n’adhère pas à la démarche et met en lumière une divergence de vue sur la question.
« La première assemblée générale de la plate-forme pour la candidature du président Rajoelina est prévue, ce jour, à Mahamasina », a fait savoir Augustin Andriamananoro, ministre des Télécommunications, de la poste et des nouvelles technologies, et vice-président de l’association Tanora malagasy vonona (TGV).
Pas question de parti
Des hommes politiques, des membres du gouvernement et ceux de la HAT, des chefs de région, voire des artistes, sont, entre autres, attendus pour la réunion.
Les partisans de l’homme fort de la transition mettent en branle la machine électorale en vue des législatives en passant outre les structures des partis. « Il n’est pas question de parti au sein du mouvement. Même les membres de la TGV viennent en leur nom personnel », a soutenu Augustin Andriamananoro.
Mais une partie de la direction de l’association fondée par Andry Rajoelina apporte une voix discordante à la démarche.
« Nous ne sommes pas au courant de cela et nous n’irons pas là-bas », a répliqué Lanto Rakotomavo, présidente de TGV. « C’est peut-être une initiative des membres du gouvernement. En tout cas, pour nous, l’essentiel c’est de vivre la démocratie en interrogeant la base », a-t-elle lancé comme une pique à l’endroit de son vice-président.
Interrogé sur la réunion, Evariste Marson, président du Parti socialiste et démocratique Vaovao (RPSD Vaovao), confirme également l’absence de concertation avec les formations politiques. « Je ne suis pas au courant d’un tel rendez-vous. Pour l’instant, nous attendons encore la sortie des textes électoraux avant de se pencher sur la stratégie électorale », a-t-il affirmé.
Iloniaina Alain
Le camp Rajoelina à l’épreuve. Des partisans de Andry Rajoelina, « président de la Haute autorité de la transition » commencent à préparer le terrain électorale en se servant des législatives comme test grandeur nature afin de se situer avant les présidentielles. Mais une partie de leur camp n’adhère pas à la démarche et met en lumière une divergence de vue sur la question.
« La première assemblée générale de la plate-forme pour la candidature du président Rajoelina est prévue, ce jour, à Mahamasina », a fait savoir Augustin Andriamananoro, ministre des Télécommunications, de la poste et des nouvelles technologies, et vice-président de l’association Tanora malagasy vonona (TGV).
Pas question de parti
Des hommes politiques, des membres du gouvernement et ceux de la HAT, des chefs de région, voire des artistes, sont, entre autres, attendus pour la réunion.
Les partisans de l’homme fort de la transition mettent en branle la machine électorale en vue des législatives en passant outre les structures des partis. « Il n’est pas question de parti au sein du mouvement. Même les membres de la TGV viennent en leur nom personnel », a soutenu Augustin Andriamananoro.
Mais une partie de la direction de l’association fondée par Andry Rajoelina apporte une voix discordante à la démarche.
« Nous ne sommes pas au courant de cela et nous n’irons pas là-bas », a répliqué Lanto Rakotomavo, présidente de TGV. « C’est peut-être une initiative des membres du gouvernement. En tout cas, pour nous, l’essentiel c’est de vivre la démocratie en interrogeant la base », a-t-elle lancé comme une pique à l’endroit de son vice-président.
Interrogé sur la réunion, Evariste Marson, président du Parti socialiste et démocratique Vaovao (RPSD Vaovao), confirme également l’absence de concertation avec les formations politiques. « Je ne suis pas au courant d’un tel rendez-vous. Pour l’instant, nous attendons encore la sortie des textes électoraux avant de se pencher sur la stratégie électorale », a-t-il affirmé.
Iloniaina Alain
article lu ailleurs
La France a fait les pots casses a Madagascar depuis 1896, crime contre l'humanite en 1947 et voudra refaire surface depuis janvier 2009...Le Gouvernement francais devra revoir sa strategie envers ses anciennes colonies et doit sanctionner les individus ou societes qui nuisent cette relation que ca soit diplomatique et economique (je parle de la francafrique et de ses proteges). J'aime mon pays, j'aimerai faire tout pour mon pays mais si les profiteurs, les voleurs, les mercenaires, les fraudeurs, les fauteurs de troubles... sont la, ca ne nous fait pas avancer, on sait que les Malagasy sont gentils et pas agressifs (sauf la nouvelle jeune generation putschiste) , genereuse comme Nadia et sa famille (?) et on en profite...
Combien de francais dans ce forum s'est exprime que la France a une mauvaise intention sur Madagascar et ses peuple et condamne cet acte...epsilon? Combien des pays francophones ont trouve un developpement et est a l'aise dans peau...epsilon pour ne pas dire aucun. Je me demande encore quelle diplomatie la France veut demontrer pour l'an 2010?
Pour en revenir a l'article de Sedra sur les francais, je l'ai vecu et je ne veux plus la revivre.
Combien de francais dans ce forum s'est exprime que la France a une mauvaise intention sur Madagascar et ses peuple et condamne cet acte...epsilon? Combien des pays francophones ont trouve un developpement et est a l'aise dans peau...epsilon pour ne pas dire aucun. Je me demande encore quelle diplomatie la France veut demontrer pour l'an 2010?
Pour en revenir a l'article de Sedra sur les francais, je l'ai vecu et je ne veux plus la revivre.
samedi 16 janvier 2010
vendredi 15 janvier 2010
jeudi 14 janvier 2010
mardi 12 janvier 2010
Madagascar: la rizière à pieds nus
Dans le sud-ouest de Madagascar, l'ouragan a détruit les digues de la rizière. Des centaines de familles sont privées de tout revenu jusqu'à l'hypothétique intervention des bulldozers gouvernements
Madagascar
un enfant chante dans les fameux escaliers de Antananarivo à Madagascar , une voix magique et une belle emotion
Madagascar, la rude vie des pêcheurs
Petit reportage de Guy Dubigeon sur la vie des pêcheurs à Madagascar. Une vie rude dans un environnement économique catastrophique
lundi 11 janvier 2010
Le développement de l'agro-écologie/Madagascar
Le ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE) et lAgence Française de Développement (AFD) parrainent une série de 26 programmes courts sur laide au développement.
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